26 mai 2014
LORAND GASPAR !...
J'écoute le vent
les grands coups d'ailes du corps invisible
mêlés à la mer, aux arbres et aux toits
à tout ce qui dans mon corps bat, ressent, respire
levant les eaux, fouillant les fonds -
brassant les feuilles de la pensée.
Lorand GASPAR
- La maison près de la mer -
Il y a eu ces échanges si simples
entre un silence en nous et quelques bruits
ces brèves rafales de l’esprit
couleurs et cris dans les choses
il a suffi de voir, d’écouter
l’olivier grandir et la mer
recoudre ses filets dans la nuit
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