6 mai 2015
RADIANCE !...
Avoir été Instant rêvé
Sous le vent de ton Île
Ô faisceau radiant
Des nues et des spires
Sidérant ensemble la moire
Perse et opaline
De la mer en beautés
Comblée de fragrances
Et chanter et louer encor les champs
Du printemps débondant tout un chagrin
Une seule aile esquisse l'azur
S'ente comme un songe
Au tourbillon ivre
De mirages le réel sauvage de l'extase
Au coeur des flots de nulle part
Sourd mystérieuse et figée la luminance des ciels
Ainsi en est-il
Du petit matin
Des magiciens
Aux confins
De la désespérance
§
MARIN
- Première Ecriture - Délires et Fragments d'Azur -
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