C'est par les froidures
de la vesprée
aux lumières si crues
des hivers
que le ciel et la mer
se marient
Clartés linéaments
les îles irradient
de beauté
Tout n'est que solennelle souvenance
harmonie
vague syndrome éidétique
de vérité
Rien ne saurait
ici
souiller l'azur
fausser l'orbe et le galbe éphémères
l'essence de l'unique
de la rotondité
lorsque l'instant
perpétue l'éternité
en son immanence se confond
Je ne serai là
que de passage
traversant
sans le savoir
ce qui ne pourrait être
ailleurs
au temps du rêve
Inéffable
prisme
que le dessein parfait
depuis le chant initiatique
de l'abîme
§
MARIN - Océanique - En toute 1 ère Écriture
2 ème Ecriture le 05 Spetembre 2021