UN PEU DE LOGIQUE ET DE BON SENS PRATIQUE
Peu importe que nous ne soyons point lus ou relayés enplus hauts lieux! Il s'agit d'un sujet qui ne nous appartient pas ... Mais n'oublions pas que la multiplications des données de chaque partie serait certainement plus profitable que le tout indifférencié dans lequel se ruent faire-valoir, distances et parutions controversées, contredites, mises aux bans des supercheries par quelques climato-sceptiques hautement patentés plus soucieux de leurs affaires !
Notons également, comble de l'ignorance qui sied aux logiques des systèmes intransigeants de l'argent -, que le scientifique, le chercheur, le savant n'ont qu'un pouvoir consultatif, honorifique face aux aréopages zélés des grands rassemblements en matière de dérèglement climatique.
LE BUSINESS GOUVERNE ENCORE
Nous nous maintenons au sommet de l'incurie, de la bévue, de l'in-compétence technocratique dévoyée. On ne tergiverse pas avec un tel sujet sensible dont les ramifications dépassent très largement nos capacités d'actions, nos piètres prévisions.
Tout en inventant, en assurant les transitions salutaires, sachons aussi mener les politiques qui amoindrissent les préjudices, les causes du mal pernicieux et, optimisent toujours l'existant, afin justement de minimiser les dégâts causés par ce qui ne peut être dans l'immédiat remplacé, remisé, abandonné !...
NOS OBSERVATIONS
Nous observons dans les faits et depuis plus d'une décennie une successions de saisons dont chacune d'elle ne se ressemble plus d'une année à l'autre.
Des épisodes Méditerranéens, de type cyclones ou Médicane dont le nombre et l'intensité croissent tout en se répandant à l'échelle Méditerranéenne totale, du Nord au Sud et de l'Ouest à l'Extrême-Est !...
Des vents bien plus violents en rafales, - souvent plus de 80 Noeuds, voire 90 noeuds sur relevés de Sémaphores, au coeur de la Méditerranée Occidentale, du moins.
Une concentration de plus en plus marquée des pluies au détriment de leur étalement régulier réparti entre automne, hiver, printemps !... Ce qui est très grave, parce qu'il ne pleut quasiment plus depuis des semaines, au seuil de l'été et que les déficits en eau sont alarmants.
Si pluies il y a, notons qu'il s'agit davantage d'épisodes orageux localisés que de fronts pluvieux d'origine Atlantique qui traversent notre pays en l'arrosant copieusement.
Le rayonnement solaire devient de plus intense et précoce dans l'année.
Entre les saisons, on note des transitions très brutales et soudaines ; ainsi, l'été se prolonge tard vers l'hiver et se déclare avec des phénomènes d'une intensité et d'une ampleur inédites côtés mers et ciels ! La chaleur de la mer en surface ou sur les premiers mètres de profondeur est conséquente ! Les contrastes sont violents.
Par contre, la mer reste assez froide dans le courant du printemps tandis que les épisodes de très fortes chaleurs deviennent plus précoces ...!
CONCLUSION PARTIELLE
Toujours est-il, que le climat Méditerranéen jadis tant apprécié et envié est bien mis à mal par une tendance à la déstructuration, aux phénomènes aléatoires et plus ou moins isolés, le tout sur des extrêmes inquiétants qui lui étaient inconnus. La Nature sèche, chauffée à blanc, les cours d'eau sont déjà réduits à la portion congrue et détournés à des fins privées ou d'exploitations en tout genres...!
Certes, plage, chaleurs, soleil, ponts du mois de Mai font le bonheur des vacanciers ; qu'ils en profitent car viendra un temps où la donne changera et menacera.
CORSICA...GO56