LE CRI D'ALARME DES 1500 SCIENTIFIQUES !...
Pour ce qui nous concerne, cela fait déjà plus d'une décennie que nous évoquons la LIGNE ROUGE, dans tous les domaines et niveaux d'organisation de l'activité humaine autour de la planète.
Le point de non retour a déjà et depuis longtemps été atteint, dès lors que la Dette Ecologique est intervenue et sévit de plus en plus tôt dans l'année, laissant chaque année qui passe un passif et un déficit considérables.
« Le Monde » publie le manifeste signé par 15 364 scientifiques de 184 pays, à paraître lundi dans la revue « BioScience ».
En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/planete/article/2017/11/13/le-cri-d-alarme-de-quinze-mille-scientifiques-sur-l-etat-de-la-planete_5214185_3244.html#rVZu8fYYEfKt66Ks.99
QUI SONT LES RESPONSABLES / VAPEUR TOUTE
!
Les technocrates d'état, les banquiers zélés à la solde des plus puissants Lobbies, des Trusts, des multinationales qui n'ont pour seules finalités que le sacro-saint chiffre de la croissance, la phobie de la compétitivité et de la surproduction,
les protagonistes des bénéfices juteux et des profits sans fin, qui choient en définitive toutes les sources de richesses et les occasions de pouvoirs que génère une industrie tentaculaire du déchet,
la grande oligarchie mondiale et financière définissant l'ordre mondial actuel
Ces grandes dominantes civilisationnelles ne relèveront pas de sitôt le défi de la transition énergétique. Une transition qui ne peut se faire que dans un contexte de ralentissement de l'activité humaine... La Planète a besoin de repos, de réparation ; c'est ainsi, il s'agit désormais d'une exigence existentielle sans précédent : le futur de l'humanité est au prix fort de la concession des chefs financiers et des politiques soudés
!
Ainsi s'étiole l'espoir d'une grille de civilisation propre et pérenne. Les quelques progrès et initiatives en faveur du développement durable n'étant que faire-valoir insuffisants, voués à demeurer sciemment contenus, surveillés, bridés par l'ordre financier en place, fût-il d'ordre régional ou national.
" ... Chez ces gens-là, on compte ..." , dirait J.BREL, et, qu'importe justement les méfaits et les manquements du niveau d'organisation lorsque de la cellule familiale à la multinationale, le sujet, le rouage, du système se couche et obéit sans " cerveau-frein " ! La métaphore est de circonstance...
La voie est donc libre, question d'amortissement ; les gouvernants, les décideurs ne sont pas encore disposés à donner la parole aux tenants de la transition énergétique : Ils feignent de le faire, sans plus, laissant pourrir une situation et un contexte dangereux dont l'erre promet de tenir le cap de la folie, du suicide, de la fuite en avant. Une maladie sans plus aucune rémission possible, tel est le chaos totalitaire et sans appel qu'ils auront conçu, enfanté, plus meurtrier que toutes les guerres réunies. Par contre, ils prélèvent la taxe et l'impôt sur la précarité, la pauvreté, la fin de vie, avec une aisance et un applomb déconcertants !
Lorsque nous évoquions la surproduction, la démesure, le gaspillage, les pollutions connexes, nous pensons que la seule issue possible réside dans le ralentissement de la production mondiale, la sobriété, la redéfinition de l'algorythme Temps de Travail- Temps libre, relayé précisément par une baisse drastique et planétaire de celui-ci.
Ce qui revient à considérer le ralentissement de tous les prélèvements que la civilisation opère sans limite sur terre et en mer, impactant l'air et l'eau ; la baisse du temps de travail concomitant et indispensable étant gage de nouveaux progrès et soins pour la planète...
Commençons par réduire, exporter les savoirs-faire susceptibles d'apprendre à vivre propres, tout autour de la planète, réduisons les inégalités et surtout, mettons l'homme en mesure d'user d'outils raisonnables qui le rapprochent de la terre, toutes les fois que cela est possible ou opportun de le faire, nous pensons à bien des pays aux populations vivant l'exode, les sécheresses, les conflits, etc ! ...
Il est impensable de sortir de la crise écologique majeure que nous connaissons sans faire siens les préceptes et les principes essentiels qui président à la vie, à ses ressources, à une saine et paisible réalité
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