Des signes, à répétitions ; confirmation par la mort avérée des hommes, des animaux, mourant de faim, fuyant des territoires impropres à la survie des espèces, des communautés ! L'heure est grave, la dette croît, la production ne se retourne pas, fuit, évite, contourne ! La Planète produit trop. Revenir à la mesure, la sobriété, la sagesse, au temps de travail mondialement établi qui garantisse déjà 30 % de production en moins au niveau mondial, premier acte d'une transition énergétique efficace. C'est l'affaire de tous les états, sans exception aucune...
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FUNESTE VIATIQUE
La Californie à nouveau s'embrase : 100 000 Hectares de végétations et de territoires ravagés. L'eau des montagnes abreuve la soif et nourrit l'appêtit démesuré des mégalopoles. Le sol est dur.
Il ne pleut plus et la terre, dépossédée de son eau, ne vit plus : elle brûle ! Si la Californie, dans sa totalité, devait subir les affres de la sécheresse, la géhenne du feu et des flamme, actant ainsi maints dérèglements d'origine climatique, Mr TRUMP ne dérogerait pas à la règle de conduite des climatosceptiques.
Plein feu, plein cadre sur le Business, la croissance, quitte à revigorer l'exploitation de toutes les sources d'énergies sales ; qu'importe, la loi du marché prévaut et commandent à toutes les autres injonctions de circonstances, fussent-elles européenne.
Voici quelques Liens qui lèvent le voile sur les arcanes d'une logique implacable. L'homme et le système avance à petits pas, prudemment ! Ré-élections probables, gloire, sens des affaires obligent.
Après tout, l'acteur et le système auront défoncé la planète en un peu plus de deux siècles ; nous faut-il considérer le même espace-temps et tenter de revenir sur les folies de nos forfaits naturels ?
Mais à ce petit jeu, la démographie aidant, nous deviendrons à court terme les grands perdants. Après le règne animal et végétal viendra notre tour, c'est inévitable.
Parlez-nous de sommets, des conférences, des Cop aux rythmes et aux velléités pléthoriques ! Certes, mais que ménage-t-on vraiment ? La sortie des logiques de l'encrassement mondial, une transition énergétique dont la haute finance aune les intérêts et les passe-droits des plus grands, des partenaires, des coalitions, des protagonistes du nouvel ordre mondial et commercial.
En définitive, on vient parler argent, dépenses, limites et obstacles financiers, marges de manoeuvres mesurées, parcimonieuses, pourcentages..
EDF s'apperçoit, en 2017, qu'elle songeait sérieusement au SOLAIRE !
Est-ce un gag, une supercherie ? Comme si pareils niveaux de techniques et de compétences n'eussent jamais pu entrevoir ce crénau porteur et prometteur bien avant et ainsi, rayer de la carte tous les sites producteurs d'énergies fossiles sales !...
Nous en serions, actuellement, à désactiver au moins 5 à 10 réacteurs nucléaires supplémentaires et tendrions vers l'effacement de ces derniers, comme en Allemagne ! Quels retards, quels soubassements troubles des politiques énergétiques mises en synergies par les gouvernements successifs ! Pourquoi ces râtés ?
La Terre n'attendra pas ! La nature veille, sommeille, gronde. Tout doit rentrer dans l'ordre, au plus vite, sans concessions nous disent les catastrophes à répétition ! Ne décide-t-elle pas des dominantes qui préservent les grands équilibres planétaires ?
Non satisfait d'avoir tout détruit ou presque, l'homme, l'impudent, l'insolent se doit en outre de décider du moratoire ! A quand un échéancier dicté par lui, au cas par cas, laissant Mr Trump porter impunément le chapeau de tous les dérèglements ?
Cette OPA sur la Terre, les Océans, l'Atmosphère nous coûtera très cher, quoiqu'il advienne désormais . La vie, l'existence même de minorités innombrables, la perte irréversible de la Biodiversié, l'ordre des saisons et des grands épisodes climatiques régionaux répartis depuis des millions d'années tout autour de la Terre bouleversé selon les latitudes. Le tribut ne sera plus supportable et la dette virera à la famine, à la guerre, à l'exode.
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