Que je m'absente de la musique
vulnérant ainsi corps et âme
Qui me manque déjà et pourtant redoutée
tant elle rouvre de blessures
De sa poésie coule la source
blanchie de lune de vagues violines
Les mots n'auraient plus peur
des pensées des accords
Mais en tout à demeure
réfugiant une larme un cri
A l'orée de silences habités
que serais-je d'autre sans Toi
Et je n'aurai bientôt de chemin
que le chant de l'oiseau que la brise emmène avec le ruisseau
!
- MARIN A TERRE -
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