L'AIR DU TEMPS QUI PUE !...
COMME SI DE RIEN N’ÉTAIT
En Asie, au-dessus du continent Indien, de l’Himalaya, nous observons des nuages jaunes putrides hautement pollués, couvrant une superficie alarmante, de plus en plus souvent... Ils migrent, tournent autour de la planète, faussent ainsi le cours et la vie de l'atmosphère, indépendamment des saisons, se moquant de la Latitude
!
La Russie, l'Arabie Saoudite ont rouvert les vannes du Pétrole, entre autres allumés ... Les States réhabilitent le charbon, la Chine et l'Allemagne persistent et signent. Les énergies fossiles sales ont toujours un bel avenir... Les nations forestières dévastent leurs poumons, nos poumons ! Dette d'O2, milieux acides, rejets nauséabonds, effusions plastiques de la matière mondialement modifiée ...
En fait, de la part de superpuissances, voici d'excellents exemples qui justifient que les chefs d'état se tapent dans le dos et se con-gratulent à l'envi, selon les fluctuations des marchés et des stratégies économiques et commerciales très payantes.
La Transition énergétique, du moins ramenée au stade des déclarations d'intentions, taxe l'ancien modèle. Une occasion, une manne des plus opportune. Saupoudrage éolien d'un côté, voiture électrique, de l'autre, tandis qu'au beau milieu de la cohue, le moteur à explosion coûte de plus en plus cher à l'usage, fait malgré tout recettes.
Quant aux entreprises, aux milieux d'affaires, aux procédés vétustes de productions, tout baigne, ça roule, le patronat ne manifeste jamais : curieux, non ?
Mais de nos cieux, qu'en est-il vraiment ?
Il est à nouveau l'heure des grandes migrations saisonnières, estivales, touristiques ... Près de 200 Millions d'êtres humains en mouvement borderont la Grande Bleue, répandront ces cosmétiques qui brunissent la peau et situent sur l'échelle de vol social ! Ces molécules se comptent par millions de tonnes, la masse opérant comme un véritable déversoir dans la mer de polluants toxiques.
Quant à l'Air du Temps qui Pue, gageons que nous ferions mieux que l'Asie en la matière. En effet, à la lumière de ces pressions atmosphériques inamovibles, de l'extinction de la vie et des humeurs de l'atmosphère, de l'envahissement des ciels par ces gigantesques masses d'air turpides, opaques, glauques, il convient de bien comprendre ce que nous réservent le climat, les océans surchauffés !
Il ne s'agit plus de Météorologie basique, de frontologie classique lorsque des milliards de tonnes de gaz sont disséminées, répandues ainsi dans les airs, sans se mélanger dit-on en invoquant les données frontales des courants de l'atmosphère !
Qui peut désormais entrevoir les influences de ces volumes de gaz sur les processus évolutifs et les paramètres qui commandent au temps qu'il fait et qu'il fera ?
Qu'elle en seraient les teneurs et la virulence des répercutions, les amplitudes d'ordre géothermique. Sur le sujet : silence, rien ne filtre ! On tait l'information, c'est ainsi.
Et les décideurs et les responsables poursuivent et canalisent tous les ans, aux mêmes dates ce flux migratoire gigantesque dont le coût énergétique aggrave encore la dette écologique. C'est le temps de la grand messe, de la curée occidentale, de l'OPA sur le KLIMA, le réconfort du PIB ...!
Nous en paierons les conséquences sur la qualité de l'air, sa teneur appauvrie en O2, les particules, les canicules, les pics de chaleur, les incendies, l'ozone, - car on joue sur les maux -, les sécheresses, les maladies respiratoires, le stress quotidien, la pollution des eaux de pluies et des terres, l'acidification des Océans et des Mers, l'encombrement des cours d'eau en déchets, etc !
N'oublions pas que dans les airs, le trafic aérien décuplé, vient à point nommé infliger le coup de grâce en lâchant dans les hautes sphères les fumets de la civilisation de l'or noir.
L'OR NOIR, préfiguration fétide du déclin, en surcroît lourdement taxé, comme si le Lambda devait subir les conneries des élites, aînées ou pas, des industriels irresponsables, de leurs dieselgates à la con ?...
Véritable accélérateur de particules, l'été vient exacerber la donne climatique mondialement bouleversée, d'un commun accord, sur fond d'un-civisme et de velléités ridicules érigés entre autres taxes organisées, en prélèvements sur le plus grand nombre, calcul qui fait toujours recettes.
LE PRINCIPE DE L’ÉTAT
Augmenter si peu les masses mais les taxer lourdement, fussent-elles retraitées ; dans les 2 cas, ça paie bien
!
La production atteint des sommets, la consommation suit dans cette frénésie saisonnière de circonstances et pourtant, tellement légitime ; la cocotte-minute bout, l'évent est bouché, ça va sauter !...
En fait, il est plus lucratif de saigner le consommateur que le producteur ! Ainsi va le système du temps dont l'air pue en s'élevant à partir de lamentables opérations financières, asservissant toujours davantage les masses laborieuses rétribuées au rabais, sous le couvert de l'égalité, de la fraternité, pour quelle liberté ?
Écoutons les discours politiques ampoulés, leurs débats foireux, les expressions dévoyées d'une politique de victimisation et de culpabilisation sans freins des plus petits, des laissés pour compte d'une société sans foi ni cœur, aux horizons barrés des lois pléthoriques, des articles muselés, autant d'interdictions allant à contresens de toutes humanités dignement consenties
La Planète est en danger
!
GHJORGHJU D'OTA
INSURRECTION DES CONSCIENCES
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