EXUTOIRES URBAINS PUTRIDES !...
Prendre un masque, nager, découvrir sous l'eau le nombre de tuyaux et de buses qui dans la mer, en gagnant les profondeurs rejettent on ne sait quoi, en toute impunité ! Idem dans les torrents et les rivières, quand ce n'est pas pour ponctionner les eaux à la source et tarir la vallée. Le monde va mal qui frappe durement l'état de Nature vital ; mais, jusqu'à quand
???
AVEC LES ORAGES LES CRUES LES INNONDATIONS
Quelques soient les villes, les communes, les zones urbaines, les villages de bords de mer et d'ailleurs, le milieu naturel et les cours d'eau non entretenus vomissent leurs lots de détritus, d'ordures, de mégots, de merdes, de plastiques, de mélasses composées de poussières urbaines, de terres souillées aux pesticides et aux engrais, de bêtes crevées des bords de routes et nous en passons !
Qu'attendent les élus pour prendre à bras le corps ce qui en définitive nuit à la santé, à la salubrité publique mais, plus encore, au Milieu Marin Naturel et Fluvial, aux zones de baignades urbaines et aux plages.
Notons que ces exutoires putrides et nauséabonds saturés de déchets ne gèrent plus les affluences qui, en quantités considérables se déversent vers les embouchures des fleuves et en mer.
Charrois infectes pris ensuite en charge par les courants, les coups de vent, les phénomènes de dérives littorales, le jetées.
Il y a ce qui se voit et l'infiment petit des bactéries, des streptocoques, des colloïdes fécaux de tous les derrières, entre autres réjouissances. Quant aux tiroirs-caisses huilés, ils tintent sans fin
...
Que l'on viennent pas pleurer si un jour nos berges et nos rivages meurent à jamais, deviennent interdits aux publics, impactent la pêche locale et artisanale, les zones limitrophes des réserves naturelles et les réserves elles-mêmes.
C'est l'Environnement dans son ensemble qui est menacé ! Il y a urgence pour les pouvoirs publics et les élus de toutes les collectivités d'agir en concertation, sur tout le territoire insulaire et continental. Aucune région, aucun département, aucune ville ou commune littorale ne saurait être actuellement épargnée.
Pour ce qui concerne les Ports, outre la sur - fréquentation touristique et la prolifération des bateaux à moteurs hors bords et autres, notons et observons en été cette eau de mer glauque, épaisse gluante, véritable miroir huileux sur lequel la risée de vent n'a plus aucun effet. Une horreur stagnante, puante, à côté des commerces et de la restauration ...
Est-ce bien cela gérer la Cité, la Ville, la commune
?
Georges NEMO
Pour
CORSICA...GO56
_________________________________________________________________________________________________