REFLEXION / DEMARCHE / CORSE !...
DES DISPOSITIONS QUI VALENT LÉGITIMITÉ / SOUVERAINETÉ
Lorsque l'on pose en préambule et comme préalable incontournables les principes naturels imprescriptibles qui régissent l'évolution, l'érosion, les métamorphoses de notre environnement physique et de notre cadre de vie alentour, hors interventions humaines, tout devient plus clair, transparent, évident et juste !
Aucune polémique, encore moins de rivalités, de divergences, de calculs politiciens ou partisans, de luttes d'influences et de pouvoirs intrinsèques. L'harmonisation émerge et s'érige en directives concertées efficaces sur le terrain.
Tous les niveaux de l'organisation des hommes en sociétés se coordonnent, co-habitent et génèrent une seule et même dynamique de projet soumise à toutes les formes positives de ré-adaptation, selon les leçons d'expériences établies à travers les domaines suivants
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Développement durable et propre, Préservation-Prévention, Protection et Sauvegarde, ( Sanctuaires - Parcs-Réserves-Domaines ), Adaptation aux manifestations du Dérèglement Climatique en Marche, Anticipation pour la ville et selon les extrêmes climatiques de demain
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La Nature, l'Etant, considérés et appréhendés, reconnus en tant que vérités légitimes et perdurables, au-delà de tout, mettront tout le monde d'accord au regard des points d'entrées de l'Île de Corse dans la modernité et un développement futuriste et prévoyant, afin de ne point et jamais démériter face au Patrimoine commun universel ou local, à l'acquis qui est le nôtre, à ce don des dieux que constitue l'Île de Corse.
Ces principes et les axes de travail dialectiquement réfléchis qui en découlent devront être les garants d'un développement respectueux de la terre, de l'Interface Terre / Mer, de la Mer dans son ensemble et son intégrité, du Milieu Montagneux et Rural
Tendons vers l'Exemplarité Insulaire Méditerranéenne, ( l'usage des majuscules est révélateur de l'importance que ces zones revêtent )
!
LA SEULE ISSUE POSITIVE POUR DEMAIN
Dès lors que le Politique, lors de la prise de décision , s'en remet au Collège de scientifiques, de chercheurs, de techniciens, d'ingénieurs et de paysagistes poursuivant, - sans fin ni détour à satisfaire - , la démarche, jouant la carte du respect, de l'intégration, de la préservation, de la protection, enfin de la réhabilitation de tout ce qui aura été souillé, défiguré, annexé à tort et selon l'opportunité du passe-droit qui a régné en maître absolu pendant des décennies !
Oui, Réflexion, Démarche, Garde-fous, Totale osmose et symbiose avec les éléments de cette Terre qui nous abrite et nous nourrit, sans que nous fussions devant les faits accomplis de la destruction massive, de l'occupation démesurée, du travestissement total de l'Environnement via les voies du tout béton et de l'accaparement anarchique et tentaculaire des derniers arpents de territoires.
DES GAGES
Une seule et unique garantie / Voir notre Île à l'abri des appétits voraces importés, de la modernité uniformisatrice. Une modernité standardisant à l'envi les modes de vie, et, de là, le développement aveugle, n'ayant comme seule finalité et souci : l'appât du gain, les gigantesques bénéfices et profits : mais à quel prix ?
DÉNATURALISATION /
Que devra encore supporter notre Terre de Corse, laissée, abandonnée, livrée aux menées exclusives de l'argent fou, quand les garanties d'intégration au patrimoine naturel s'effritent de jours en jours de façons si visibles et quotidiennes !
A l'instar du dérèglement climatique, combien de temps notre Île absorbera-t-elle l'inacceptable urbanisme tentaculaire avant que d'être en majorité vendue à l'encan à tous les pôles d'influences lourdement argentés
?
Il ya tout de même des limites à ne pas dépasser, des mesures à prendre susceptibles d'encadrer et d'orienter les termes d'un développement qui s'affole et qui prend de cours la conscience collective.
ANTON-PASQUINU D'ATTALA