CLIMAT RIEN NE VA PLUS ! ...
Masses d'air de plus en plus sèches, des vents plus souvent violents, des épisodes dépressionnaires et des perturabations atmosphériques aux systèmes nuageux déficitaires, réduits à la portion congrue, des ciels majoritairement dégagés ou juste voilés, des températures en hausse inquiétante dans la durée et pour le mois de l'année, etc ! ...
CLIMAT
RIEN NE VA PLUS
L'Europe traverse des périodes de plus en plus longues, vit des situations de blocage météorologique de type Anticyclonique. Un contexte revêtant le spectre de canicules intenses, de sécheresses de plus en plus marquées et étalées, avec pour corollaire et pour ce qui nous concerne, un Hexagone coupé dans le tiers supérieur Nord où circulent encore et pour un temps les dépressions Nord-Atlantique et Manche.
L'Australie suffoque, brûle, le chaos s'installe !
Mais bien au-delà de ces observations, outre le résultat des études et conclusions des chercheurs et des scientifiques, voilà plusieurs années que les systèmes nuageux subissent les effets d'un bouleversement dont les causes se révèlent d'ordre anthropique, ( bio-chmiques et physiques ). Un rayonnement cosmique plus intense et des chaleurs à venir exacerbées, doublées de pics de pollutions à l'ozone et dioxyde de carbone effarants ! Un marasme climatique s'installe, la vie de l'atmosphère à terme et lentement disparaît... La vie sous-marine périclite à grande vitesse !
Les nuages se raréfient, moins denses. Ils demeurent, plus élevés, ( sous la forme de voile accentuant l'effet de serres ), ou alors et encore davantage bourgeonnants, notamment lors des épisodes de forts orages et de refroidissement brutaux que les conflits de masses d'air dévloppent avec intenses développements verticaux.
L'ennuagement habituel et si diversifié sous nos latitudes, caractéristique du climat Méditerranéen n'est plus ce qu'il était il y a seulement une décennie. Le phénomène s'amplifie, s'installe sur des durées hallucinantes de ciel bleu, sans l'ombre d'un seul nuage, en hiver et, en toutes saisons.
Il y a là de quoi s'alarmer ! Les effets de ces changements iront s'aggravant, s'intensifiant tant pour ce qui concerne les températures que les indices d'hygrométrie.
N'oublions pas un régime de pluie déficitaire et surtout très délimité dans le temps, des précipitations brutales, massives, non réparties selon des saisons, avec un regain d'érosions des sols et de sécheresses aggravé
!
Le dioxyde de Carbone, le CO2, tous autres dérivés de la combustion des énergies fossiles et, ils sont très nombreux, interagissent et modifient la composition et la vie de l'atmosphère, des masses d'air, des nuages, quelque soit l'étage considéré.
L'étude montre clairement que les nuages les plus impactés demeurent ceux de l'étage moyen, - du type Strato-Cumulus, Ciro-Cumulus, déjà plus hauts -, soit des nuages de marges, jadis souvent présents, encadrant le passage des perturbations associées aux Dépressions.
Quant aux délais, aux échéances de ces futures réjouissances, on peut d'ores et déjà arguer du fait qu'elles se manifesteront bien plus tôt que prévu eût égard à la montée en puissance des économies de marchés et de la surproduction, et, par effet induits des rejets colossaux en perpétuelles augmentations, généralisés tout autour de la planète.
Nous le voyons très bien, gouvernements, états, univers de la grande finance internationale, industriels, se moquent totalement de ces nouvelles données...
Les glaces, la banquise, les forêts, les mers et les océans de plus en plus acidifiés et pillés, les sols détruits par l'industrie chimique de l'engrai et des pesticides, les pesticides vendus à l'encan pour le petit jardin de Mr et Mme, partout dans les grandes surfaces et autres commerces, par centaines de millions de litres, le chauffage industriel au fioul, le commerce international par voies maritimes extrêmement polluant, le trafic aérien en augmentation exponentielle, etc ... Tout cet édifice destructeur se moque du futur, de l'évolution et du bouleversement en cours qui nous mène tout droit vers un
ACCIDENT CLIMATIQUE MAJEUR ET PLANÉTAIRE
DÉCROISSANCE
Nous le disons et le répétons avec gravité :
Il n'y plus d'autre alternative que la DÉCROISSANCE concertée, proportionnée, juste et assistée, au niveau planétaire, outre tous les efforts et volontés parcellaires et disséminés de Transition Écologique Durable.
Une DÉCROISSANCE sélective dans l'efficacité des résultats et selon les secteurs les plus sévères pour l'environnement.
Redonner au temps le temps du repos, de la mesure, de la sobriété, à tous les niveaux de l'organisation des sociétés. Relâcher les cadences et la masse des cadences au niveau de l'emploi, de la durée du temps de travail afin de contenir et limiter la production et le pillage des ressources, donc des rejets...
Un intermède vital, de nouvelles orientations salutaires pour l'ensemble du vivant et de la biosphère
!