Il est impensable, de nos jours, d'opérationnaliser et de valider une chaîne de production sans contreparties environnementales drastiques concernant les produits, les emballages, le recyclage, le traitement de possibles déchets. Que le gouvernement prenne acte de ce principe désormais vital et incontournable. Le Patronat ne peut continuer à s'enrichir et à polluer massivement la Planète en perpétuant l'industrie de l'emballage indésirable, sans études d'impact... Le niveau actuel de la technologie permet et requiert des solutions propres et durables ! No Deal sur ce point, svp !
Un bouquet de bois que la mer et les montagnes composent au gré des vents porteurs et des pluies nourricières. L'errance, au hasard, sur la grève, nous dévoile le cycle du vivant et de la renaissance. Un tout n'altérant point le cours des métamorphoses, que le silence ouvrage depuis la nuit des temps. Algues, micro-organismes, végétaux marins et terrestres, poussières et grains de roches érodées, coquillages, bois flottés, galets, la mer et les marées parent, façonnent la dune et le rivage indéfiniment, sans que rien ne vienne souiller l'ordre des choses vraies et pures.
Il aura fallu attendre le grand capital, la modernité, l'emballement des cadences de production, l'organisation de la grande distribution et de ses satellites industriels, la production exponentielle, la sur-consommation des produits diversifiés livrés à la vente et aux profits, méticuleusement emballés
pour engendrer la pire des marées plastiques à travers les océans et les mers poubelles. A cela, nos technocrates de merde ne réagissent toujours pas ! On ne touche pas au capital, à la manne, aux tenanciers de l'appareil de production. Il est plus facile de taxer les bas salaires, par millions, en leur infligeant le sur-coût de la taxe carbone et en assumant la transition timorée et dérisoire vers l'éolien et le solaire !
Mais de ces milliards d'emballages plastiques, de ces mousses expansées, de ces rebuts de l'industrie pétro-chimique qui continuent de souiller le milieu de vie, des ces tonnes de pesticides, d'insecticides, d'engrais chimiques contenus qui se répandent dans le substrat et toutes les eaux qui mènent à la mer : qu'en est-il vraiment si ce n'est la vente pérenne et massive aux profits colossaux dont le grand patronat jouit à travers le monde et les réseaux torves d'un commerce devenu suicidaire, ignoble, irresponsable.
On prend la mesure, en hauts lieux et avec des pincettes, des préoccupations lycéennes envers le devenir du climat ! On feint de prendre tout juste conscience de l'état d'urgence environnemental que vit la planète. On ébauche des pistes de travail scolaire pour ne pas éclabousser le capital, les marchés et les actionnaires, en guises de mesurettes foireuses destinées à contenter la jeune contestation.
Mais regardez les étals, les rayons du commerce de détail, de la grande distribution, de l'indsutrie du bâtiment et observez, dénombrez les quantités de plastiques que le modèle productif actuel met à ce jour en lice afin de dealer avec un maximum de valeur ajoutée l'infiniment fractionné et démultiplié des produits destinés à la consommation, sources de bénéfices vertigineux que réalisent les ténors du négoce et du commerce tentaculaire. On ne reverse rien de ce deal infecte !
Les jardins, les cottages gavés de dérivés chimiques fleurissent bien. La majorité des insectes et des oiseaux de nos villes et campagnes disparaissent. Les sols périclitent, les nappes phréatiques sont contaminées,
mais les rayons de grandes surfaces, quelles qu'elles soient, croulent de poisons de merde en marche, bien emballés. Voici les termes d'un commerce que nos politiques de merde laissent couler comme le brut des soutes des bateaux poubelles qui se brisent en deux pour avoir le droit de sombrer et de vomir leur fuel où ils veulent.
L'état ferme les yeux pour les uns, les pourvoyeurs de fonds gigantesques, via la TVA, notamment. Chaque emballage plastique tintinnabule en passant à la caisse, avec son lot de taxes et ses marges en sur-coût qui tombent dans les mêmes escarcelles. Observons nos caddies, la liste des produits soumis à emballages plastiques, mesurons l'ampleur des profits qu'ils représentent, dénonçons ces logiques de destruction massive des terres, des mers et des océans que le gouvernement épargne encore de nos jours. Actons l'insignifiance du tri sélectif au regard des rejets sauvages et des ordures non traitées, enfouies, etc ! ...
Voyez-vous, ainsi, d'un bouquet de bois flottés anodins, nous voilà rendus au plus près d'une terrifiante et colossale réalité, au coeur d'une injustice sociale révoltante doublée de menées culpabilisatrices.
Des pratiques à hauts risques, impunies, crevant les yeux d'un quotidien de rejets suicidaires, doublement préjudiciables à l'environnement, lorsque le plastique renferme en surcroît un lot de poisons violents, ( Plastiques + Hydrocarbures + Pesticides + Engrais + Insecticides + Rejets + Ordures, Produits Dangereux, etc ! )
STOP PLASTIQUES A LA SOURCE
MERS et OCEANS LIVRENT L'INFECTE TRIBUT DES NOURRITURES TERRESTRES D'UNE AUTRE DIMENSION
!
Il ne faut plus souhaiter un bon appétit à table mais plutot Bonne chance, a si bien
vu Pierre Rabhi .
MAIS QU IL EST BEAU CE BOUQUET DE BOIS !!!! MERCI POUR DE CADEAU