Le Futur passe par un Tournant Ecologique Majeur, à l'International, concerté, accompagné, généralisé, sur les bases d'une décélération, d'une décroissance épargnant ressources terrestres et rejets. La Transition est à cet unique prix. Y déroger signe l'incurie et l'incompétence. Les priorités ne sont plus aux profits, aux Lobbyistes, aux stratégies de l'enrichissement maximum de minorités au pouvoir, de ploutocrates ; changeons de paradigmes ; le saupoudrage et l'emfumage des abeilles aura assez duré
!
A l'heure des conclusions du GRAND DEBAT, l'opinion et la Jeunesse se feront une réelle idée des mesures prises en faveur de la PLANÈTE et, surtout, des moyens mis en oeuvre destinés à les accompagner et les suivre sur les plans :
social, économique, industriel, du Développement Durable indissociable de la sphère et de la nouvelle gouvernance politique
Nous attendons LREM sur tous les fronts de la Transition Ecologique et de la justice sociale, afin que chaque citoyen, acteur, travailleur et retraité, sur le sol français, soit en mesure désormais de vivre dignement, de gérer son temps de travail et libre, selon un socle commun de richesses justement réparties, un minimum décent.
Le temps presse, les sociétés doivent engager et négocier un tournant politique et économique majeur, radical, une sortie de crise et de dette écologique parvenues à leur paroxysme, trop dangereuse !
A l'international, la situation vire au cauchemar au regard des terrifiantes mesures et récentes données relevées propulsant des rejets de C02 dans l'atmosphère qui auraient atteint des taux jamais égalés depuis plus de 3 Millions d'Années !
Sombre record, depuis les Accords de Paris co-signés par près de 180 Nations ! La machine infernale s'emballe et l'inertie croît de manière exponentielle, nous rapprochant plus de l'échéance 2050 que de 2100 !
L'URGENCE DE CIVILISATION
Doit placer et décréter le MINISTÈRE de L'ECOLOGIE au rang du tout premier Ministère de l'Etat, soit une structure gouvernementale majeure dont les orientations et les stratégies commanderaient à tous les autres pôles de gouvernance, dans un souci général de transversalité, de complémentarité et de réajustement des compétences, des outils mobilisés visant à atteindre des seuils organisationnels viables sur le sol National, à l'international, en totale et permanente collaboration, aides et soutiens...
Enfin, l'évolution, le progrès, la Transition Écologique, surtout, ne sont absolument pas incompatibles avec la notion et les réalités de la DÉCÉLÉRATION de la croissance Mondiale, au niveau adapté donc à chaque état-nation.
Ce qui suppose une toute autre répartition du travail dans le temps qui ralentisse les cadences, offre à tout un chacun une chance d'emploi durable et pérenne, un volume de temps non contraint destiné également à accompagner les priorités et les axes d'un bouleversement positif des mentalités, en faveur des milieux de vies en danger. L' Éco-Responsabilité ne peut s'entrevoir qu'à partir d'une entrée dans l'existence non grevée de brimades financières et morales, de difficultés à assumer les obligations et les devoirs citoyens.
Y déroger, c'est confiner aux mesurettes, aux velléités, aux efforts isolés ne garantissant en rien la chute des émissions de GES, la diminution et l'éradication des rejets à travers les océans et les mers, la disparition de la sur-pêche, de la sur-exploitation des forêts et des sols, des ressources de la Terre, etc ...!
Le Tournant n'est plus historique mais civilisationnel, humanitaire, éthique, car il y va de la mort et de l'exode de populations entières, de flux migratoires à venir terrifiants dès lors que les catastrophes naturelles ne connaîtront plus de limites ! ...
La politique ne commande et ne dicte pas à l'Ecologie Planétaire. L'Ecologie Planétaire aujourd'hui, des cimes de l'Urgence Climatique et Océanique commande aux POLITIQUES et aux technocrates qui les pilotent.
Nous devons nous plier aux priorités mondiales engageant la survie d'une Planète en crise, en surchauffe, en voie de déclin.
Demeurer, perdurer en suivant les obligations de systèmes financiers et productifs suicidaires, en situations de compétitions effrénés, signent la fin programmée de tous les milieux de vie sur Terre
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