AUX DÉCIDEURS DE CE MONDE
Il avait pourtant prévenu, anticipé, envisagé, dans tous les domaines, sur tous les sujets cuisants, en qualité de chercheur, de scientifiques mais aussi d'homme politique, nommé au gouvernement de l'époque, il y a déjà
50 ANS
On l'écoute, à nouveau. Nous l'envoyons aux politiques et aux décideurs publics et privés ! C'est à partager, à diffuser, à rediffuser dans les Médias... L'heure n'est plus aux constats mais au virage radical en matière de croissance et donc d'émission, dans l'état actuel de nos " outils " de productions.
Planète Terre doit pouvoir souffler, se régénérer, certainement pas dans les conditions actuelles, d'un futur immédiat fondé sur l'inertie lui assénant le coup de grâce irréversible
A VOIR ET ENTENDRE ABSOLUMENT / REDIFFUSION
Tout avait déjà été dit, envisagé, étudié par un scientifique, une homme de terrain de très haut niveau. Quel décideur, quel politique aura en son temps écouté et entendu le message
?
Alors que les USA sortent des Accords de Paris, que l'Inde suffoque sous des nuées empoisonnées, que la Californie ne cesse de s'enflammer, que l'Afrique du Sud risque de perdre d'immenses territoires, que les inondations se produisent partout dans le monde, que la forêt amazonniene et les forêts primaires du monde sont dévastées, que l'Afrique est au bord d'une pénurie catastrophique d'eau, que les Islandis et les glaciers du monde entier fondent à vue d'oeil, que le niveau des mer programme des millions d'exilés climatiques, que mers et océans s'acidifient, que les ressources de la Terre viendront sous peu à manquer
!
Tous les indices, toutes les données virent à la vigilance et à l'alerte rouge
En prime, ce constat, un de plus, qui tombera dans les oubliettes du gigantesque et dantesque capital.
OUI
Que font les politiques, les décideurs au plus haut niveau, les causeurs de troubles du grand capital qui prônent encore et toujours sur-croissance, sur-production, sur-consommation, sur-investissement dans le domaine de technologie aujourd'hui dépassées et condamnables, sans omettre les sur-ponctions de matières premières animales, végétales et minérales, un volume d'émissions et de rejets afférents absolument inacceptable.
Un chaos, un imbroglio inextricable où le politique, l'économique, le social, le financier pèsent en priorité dans la balance de la vie exploitée à outrance, à tous les niveaux de l'organisation des sociétés, de l'existence éphémère, du profit
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