NIER L’ÉVIDENCE MÈNE AU CHAOS ! ...
Climato-Sceptiques en marche, un peu de retenue, svp. Le credo de D.TRUMP et consort confine au suicide collectif. Ne pas corréler GES et Hausses des Températures mondiales est irresponsable.
Comment expliquez - vous, établissez-vous alors la connexion entre le cycle habituel, ( hypothétique ), des épisodes climatiques orientés vers un réchauffement de nature non anthropique et les échéances auxquelles il demeure lié. Quelles en seraient les causes récurrentes, autres, nouvelles ? Selon quel rythme ? Quels facteurs interagiraient, bouleverseraient à un tel point de rupture l'équilibre des climats en présence et parfaitement établis, qui définissent le climat global de la Planète ! Pourquoi récuser l'éventualité anthropique, à quelles fins tragiquement éphémères
?
LA DOXA RECHAUFFISTE RÉPOND A VALEURS ACTUELLES
Nous relevons les propos des derniers développements et sujets ayant trait à la fonte des glaces et des glaciers alpins, notamment lors de la visite du Chef En-Marche à la Mer de Glace. La teneur de ces articles vire à la condescendance partisane amplement orientée. Que n'entendons - nous pas, qui serait de nature à prendre le virage salutaire qui s'impose d'emblée.
Ainsi et selon ces messieurs, assujettir et corréler la hausse des émissions de CO2 et de gaz à effets de serres à la hausse globale des températures serait à la fois menteries et inclinations à forcer l'exagération, arguant du fait que bien avant la révolution industrielle, nous eûmes connus et traversé des ères et des époques bien plus chaudes que de nos jours, sans le surcroît d'émissions que l'on connaît aujourd'hui ! Et bien, voyons, messieurs, continuons, persistons, insistons ; la curée prend de l'ampleur, validez la forfaiture, poussons plus avant, surproduisons, rejetons à l'envie, pillons les ressources !
Rien de tel qui puisse autant galvaniser le politique inconnaissant en matière de climatologie, de dérèglements climatiques, d'une part et, d'autre part, peu soucieux de l'impact environnemental que les stratégies industrielles et commerciales payantes engendrent.
La science a ses limites que la modernité rejette, dépourvue qu'elle se trouve face au manque systématique de recul nécessaire à toutes les investigations, démarches scientifiques. Ainsi valsent aisément les bilans et les conclusions de travaux de recherche, non pour le meilleur mais : pour le pire ...
Soit les chercheurs et les scientifiques accréditant le lien de causalité évident et indéfectible entre les émissions et l'affolement des températures se révèlent incompétents notoires, soit les climato-sceptiques, les parvenus patentés mentent effrontément comme ils jettent de l'huile sur le feu d'un cocktail énergétique détonnant.
Pour ce qui concerne les hausses de températures, observables tout autour de la planète, à l'instar des climats que notre Terre engendre, maintient et pérennise, il est tout à fait démontré, à justes titres, selon des travaux scientifiques rigoureux, que la hausse diversifiée et autrement répartie des températures du Globe repose sur une interaction factorielle prégnante qui ne laisse rien au doute.
Comment lutter contre le réchauffement climatique tout en ayant à contrer, au départ, l'arbitraire, les méfaits et les lenteurs préjudiciables d'un sceptiscime arc-bouté sur les raideurs d'une grille de civilisation dépassée, obsolète, inadaptée, hautement pernicieuse et dangereuse.
L'heure n'est plus au débat mais à l'action de grande envergure qui aille en faveur du retour aux normales établies déjà depuis des siècles !
Une guerre de chapelles inopportunes, indésirable, attisant les flammes de l'emballement, les terrifiants leviers de la rupture climatique majeure, localisée, étendue, planétaire. Il n'appartient pas à un aréopage zélé en marche d'ouvrir ainsi les vannes de la surenchère climato-sceptique, de contester de manière irresponsable l'évidence !
La hausse des températures, comme toutes les manifestations d'un dérèglement climatique généralisé sont des données à traiter électivement, sur tous les fronts, actant le fait établi qu'elles résultent de l'activité anthropique mondiale, des multiples foyers susceptibles d'affoler non seulement les moyennes du mercure mais également les extrêmes, les catastrophes. Nous le voyons bien aujourd'hui, notamment depuis ces cinq dernières années.
L'avenir donnera raison aux Scientifiques, aux Chercheurs, aux Mathématiciens, aux puissants modèles de prévision.
Dans le cas contraire, pourquoi donc changer de cap, enclencher une transition écologique durable ? Persister sur la voie du couple émissions / rejets, agresser tous les pôles Nature, accréditer et arguer de probables épisodes climatiques inscrits dans un cycle immuable, proroger la mainmise des leviers de la civilisation carbonée :
Est-ce bien raisonnable
!
CORSICA...GO56
En réponse à l'article paru dans le magazine Valeurs Actuelles, suite à la visite de Macron dans les Hautes - Alpes
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