BOUCLES DE RETROACTIONS POSITIVES ! ...
Photo Serge EBEZA / Gabon
Appelons les choses par leur nom et là, c'est de tristes et tragiques circonstances ! Peut-on un instant penser que les décideurs - politiques - affairistes - banquiers aient au moins lu ces résumés, ces courtes synthèses, accessibles à tout un chacun que la presse spécialisée diffuse sur le WEB, chaque jour ? Pourrait - on demain apprendre que des solutions sont immédiatements prises pour amoindrir et contrer les rejets dans l'atmosphère, les mers et les océans, les cours d'eau et les sols. Des décisions à l'international qui augurent de bonnes soltutions, d'un respect enfin consenti envers notre Planète ?
Non ! Utopies, rêves, crédulité ... Les affaires sont les affaires et quoiqu'il advienne, les inconséquents aux pouvoirs persistent et signent, comme les c..s qui ne changent jamais d'avis, la destruction programmée de notre environnement.
Rien ne saurait être isolé, indépéndant de toutes autres influences, de pans de vies connexes et en situations de perpétuelles interactions. Les lois du système, les grands principes de la cybernétique valent toujours. Les réactions en chaînes affectent encore et souvent des relations que l'on pensaient impossibles, improbbales et, pourtant !
Le vaste programme de destruction massive perpétré par notre grille actuelle de civilisation, conforté par les puissants de ce monde aura sans nul doute gain de causes à effets ravageurs mais aussi exponentiels, touchant une foule de secteurs comme la biodiversité dans sa totalité.
Les sacro - saints équilibres financiers, les référents comptables prévalent sur le vivant, la prospérité, la sérénité, la justice sociale, la santé, la Paix, quoiqu'il en coûte sur le plan environnemental !
Comme si la situation parvenue aux points de tensions et de ruptures inévitables que nous connaissons, bien plus précoces que le prédisaient l'ensemble des travaux et des recherches en prospectives, que les scientifiques déposent sur la table des chefs d'états et du grand patronat mondial, ne les intéressait ni les les engageait à réagir sur tous les fronts...
Contexte et situation inacceptables, honteux et scandaleux dès lors que les grands principes directeurs menant le monde de la finance, de l'économie, reléguaient les préoccupations climatiques au rang des effets colatéraux mineurs passant en pertes et profits des modèles actuels.
Irresponsabilité, incurie, collusions notoires et inacceptables qu'il convient de contrer sans concessions ni compromis aux risques avérés et immédiats de sombrer dans le chaos climatique planétaire et social.
Les 40 heures / semaine, les 43 ans de cotisations / Les cadences de production infernales / La surconsommation / Le recours de grande envergure aux énergies fossiles / l'ampleur des prédations, mainmises et pillages des ressources de notre planète se retrouve indubitablement dans les airs, les mers et les océans, les sols et les eaux des cours d'eau, sous la forme de rejets, de déchets.
Une politique aux abois, obsolète, dépourvue de vision et de compréhension des phénomènes et dominantes vitales. Cet état de faits nous conduit inexorablement vers une ère dévastée, le sursis, l'agonie géographique, de grandes catastophes naturelles, des tragédies humanitaires.
Le capitalisme est-il aux prix de la dévastation et de la dégradation du climat
?