EFFRAYANTS CONSTATS !...
L'ère que l'homme génère, engage, investit :
ANTHROPOCENE
semble de plus en plus fatale à la Terre, aux océans, à l'environnement comme à tous les cadres de vie aujourd'hui menacés, dégradés, détruits. Il n'est pas un seul jour de l'année sans que ne tombe une terrifiante nouvelle, preuve, observation mettant en cause la responsabilité de l'homme, du système, de la grille de Civilisation.
Des informations qui n'interpellent aucunement les dirigeants, les hautes sphères de la politique politicienne et de la géopolitique. L'argent, la richesse que l'or et la sanie des profondeurs terrestres engendrent n'ont aucun scrupule. Il est donc permis de dévaster, de piller, de voler les ressources de la planète au diapason de tout argument et principe de dominance, de leadership, de contrôles sur les marchés mondiaux de la finance et des affaires juteuses.
A l'instar des Méga-Feux qui ravagent et impactent de nombreux pays, les grands espaces que l'on pense impudemment réhabiliter ou remédier aux maux récurrents et désormais pregnants dont souffre la planète et les sociétés des hommes organisées comme telles.
Les dossiers parvenant dans les ministères de tutelles ne se comptet plus ; on prend, on place sous la haute pile des questions diverses, on engage quelques piètres mesures, écrans de fumées estinés à " noyer le poisson " afin d'aller à l'essentiel inébranlable des questions sérieuses. Le nerf de la guerre arbitre, guide, canalise, infléchit, décide !
Que 75 % de la biodiversité disparaisse ne semble guère déranger les affaires du pouvoir, les gouvernants et décideurs à la solde des affairistes et du grand patronat.
Dans les conseils de classe, il est des matières dites secondaires qui n'auront jamais influé sur le conseil des professeurs et la décision prise du passage de classe !
Le pot de fer contre le pot de terre, dit - on communément ... Les répercussions de ces pertes d'une importance capitale bouleversent les grands équilibres, se retrouvent à tous les niveaux de la grande chaîne de la vie sur Terre et l'homme s'avère déjà impuissant face à de telles orientations.
La Terre et sur son déclin, inéluctablement précipitée vers de sombres et infertiles lendemains. L'homme scie la branche sur laquelle il est assis, au bord d'un monde et des mondes en sursis, qui périclitent sans aucun espoir de retour
Ajoutons à cela, depuis plus de 2 siècles, ces opérations indignes de l'homme s'autorisant, - aujourd'hui encore -, tous les massacres de grands animaux, la course au trophèes de chasse, le commerce des animaux sauvages, l'exploitation de certaines ressources animalières ( fourrures entre autres ), la destruction massive des forêts primaires et des grands habitats faunistiques, en toute légalité, sans qu'aucune grande puissance ne puisse intervenir et nous touchons à l'irresponsabilité notoire des chefs d'états bien plus soucieux de leur égo que du devenir des futures générations
!
CORSICA...GO56