DEPRESSION ...!
Fragile enveloppe, GAÏA, souffre. Il y souffle un vent de paniques des profondeurs de la Terre jusqu'aux cieux ; extrêmes dépendances
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Un Jour un jour
Plongés au coeur d'une guerre totale, l'histoire se réécrit sous les yeux des nations, de près et de loin, à l'encre rouge, dans l'horreur quotidienne ! Prendre de la hauteur, de la distance, élever tous les seuils de la Pensée, en esprit, afin que les dirigeants, les décideurs parlent le même langage, s'engagent comme le font avec foi les ONG, toutes les associations humanitaires qui ouvrent les chemins de l'entraide, qui font entendre les voix de la Paix, de la fraternité, de l'équité, de l'éthique, de la sagesse. Les états étant dans le devoir de pérenniser assistances, rattrapages, toutes les conditions du développement durable, juste.
Ne sommes - nous pas grandement et de plus en plus dépendants de cette mince enveloppe terrestre qui nous enfante et nous fait vivre, toutes et tous, ici-bas.
Ces décalages, ces écarts à la réalité, à la sérénité, à l'éthique, sont et deviennent insupportables, inacceptables, manquent aux promesses comme à la prospérité de l'humanité toute entière, de tous les peuples, de toutes les contrées courant aujourd'hui un péril majeur.
Il y eut les siècles - tragédies - génocides que de funestes échos rappellent, au loin, vers l'Orient, le continent des peuples brisés, déchirés, meurtris. Tristesses infinies que l'inaction, l'éloignement, le sentiment terrible de ne rien engager qui puisse changer le cours des évènements, le mener sur les voies de la prospérité, de la fraternité. Si la guerre en Ukraine focalise, n'oublions jamais tous les autres conflits localisés, larvés, latents, qui sévissent et dévastent de manières chroniques et aggravées des pans entiers de populations, les miniorités dont certaines semblent concomitamment faire l'objet d'attentions et de traitements différents, inégaux, partisans, voire : d'indifférence notoire.
Profonde dépression ! En effet, les mondes y sont irrémédiablement plongés ou la ressentent comme telle dans un contexte implacable et en situation d' incapacité à gérer la modernité. Immense déréliction où l'homme ne sait plus où il va, perd les repères et les valeurs qu'induisent et portent si haut le respect de la vie, l'amour, la solidarité que nos dirigeants sont sensés défendre, étendre, faire respecter.
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MEDIAS
Il est, par la force des choses, une inclination à la surenchère des faits et de l'actualité. Si l'information IN SITU demeure essentielle à la compréhension de tous les leviers des conflits actuels, l'on peut déplorer cet acharchenement et cette obsession nourrissant le décryptage de tous les faits de guerre pretant à interprétations pléthoriques et non avenues, technicistes, exclusives, dès lors que personne se trouve en plateau en mesure de prévoir, de supputer, de poser un pronostic quant aux issues de ces conflits majeurs qui nous encerclent et qui menacent la sérénité dans le monde.
Et ainsi, à travers les chaînes du PAF, les médias, harcelant chaque émission d'information, tutélaire et impatronisée, omniprésente, la PUB s'invite, souille et coupe les débats, impose à la réflexion et aux échanges, autour de l'actualité tragique, endeuillée, projette ses ineptes et insupportables contenus que le profit, en amont, jette en pâture. Un scandale et une honte
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Terrifiantes révélations des milices, au plus haut niveau de décision, que réservent le sort d'une enclave, d'un gros bourg aux milles victimes quotidiennes, pour une bataille qui s'inscrit dans la symbolique de part et d'autres et dont le côut en vies humaines ne bougerait plus d'ici un à deux mois à venir.
Le Monde reste suspendu aux discours du nouveau tyran de ce monde qui lâche et engage contre l'Ukraine sa jeunesse, sa population, qui verse le sang et répand la terreur, les horreurs inhérentes à toutes les guerres.
Comment peut - on accepter pareil diktat, invasion, négation du Droit International, le fait d'une guerre frontale et soudaine, l'annexion de territoires conduite en toute impunité, augurer de lendemains dévastateurs, accepter le fait que le peuple subit, se soumet, accepte les yeux fermer l'ignominie de la guerre ? Comment, au-delà du patriotisme, de la légitimité historique et de l'appartenance à une nation, comprendre que le peuple fasse ainsi allégeance à un tyran qui mobilise sur tous les fronts cette chair à canon qui permet aux troupes de rogner quelques kilomètres carrés de terre, au prix de dizaines de milliers de morts et de blessés graves ?
Comment concevoir, en conscience, cette insulte, cette blessure béante que l'homme inflige à l'éthique, à la paix, à la fraternité, à la sérénité, à l'entente imprescriptible des peuples en paix ?
Citoyen du monde, je m'élève contre toutes les dérives des pouvoirs investis à l'aveugle, porteuses de grands malheurs. Aider, soutenir, ne suffit plus. Quelles cataclysmes humains majeurs traverserions - nous si les grandes ONG et Associations humanitaires n'intervenaient pas à de tels niveaux et seuils d'engagements, d'efficacité, de fraternité, d'abnégation ?
Force est de constater que le contexte présent inhibe toutes relations et probabilités de négociations ; est - ce pour autant avoir épuisé toutes les ressources de la Pensée, du dialogue afin de remettre en mouvement de nouvelles logiques et stratégies " diplomatiques ", d'obrenir une trêve, un long cessez le feu, une armsitice éventuelle !
Qu'en serait - il du registre, du panel de possibles et réelles négociations ? L'humanité s'est rendue hautement et dangereusement dépendante des ressources et des capacités de notre Planète. Un sursis que grèvent les catastrophes dites naturelles et les guerres.
N'est - il pas un tarrain d'entente, au niveau mondial, un vaste projet en mesure de dévier la force et l'inertie des leviers de la conquête, de la quête de nouveaux espaces vitaux, quoiqu'il en coûte des moyens et des objectifs pour y parvenir !
L'humanité vire à la profonde dépression, à l'incapacité de faire front, de relever les défis qui l'attendent. Elle s'en ressent de ce sentiment d'abandon, de déréliction, d'inaction, sources de toutes les angoisses frappant les jeunesses du monde.
A l'ère de l'information, que de potentialités seraient à exploiter afin de véhiculer tous les messages de paix, d'espérance, de prospérité et de sagesse.
Aux heures bouleversantes de la guerre se surajoutent les tourments horribles des populations frappées par un séisme séculaire, l'exode climatique, les sécheresse, les inondations.
Sur les lignes de fronts, comme une fatalité, un coup du destin, un revers de la géohistoire, on livre des armes. Toute une nation est soutenue, puissament dotée en matériels de guerre. Le droit de tuer devient omnipotent.
Tout récemment, en Turquie et en Syrie, le droit de sauver émeut le monde. Tout ce que l'humanité compte d'avancées, de générosités, de technologies, de soutiens et d'aides afflue faisant par là la démonstration qu'une seule voie est possible, que la guerre confine et appartient aux mondes passés que chaque humain ne souhaite plus jamais voir.
Au peuple russe : _ " Levez - vous, dites non à cette horrible guerre, retirer - vous, rentrez chez vous, prenez le temps nécessaire et réinventez les conditions prometteuse de la paix, revenez à la table de toutes les priorités qu'il importe de traiter, qui concerne également chacune des nations de cette petite planète qui souffre d'un insupportable silence.
- CORSICA...GO56 -
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" CIVILISATION - ETHIQUE "
Le 18 Février 2023