UN PAIR AUX ENFANTS ! ...
Le temps de la durée me pèse lourdement, m'affecte tout particulièrement ! Je n'ai plus le coeur à l'eau, aux vagues échappées. Nous perdons un petit être non humain et si grand en esprit qui nous est si cher, que rien ne saurait remplacer ni faire oublier ! C'est ainsi, de notre quotient affectif partagé, juxtaposé, aimant, désintéressé.
Lorsqu' en même temps la disparition par éloignement et cassure de nos propres enfants, sous l'égide et de leur pièce rapportée, nous laisse de marbre. Voilà bientôt et déjà une quinzaine d'années que nous ne voyons plus du tout la famille proche. C'est mieux ainsi, quant au lien de sang qui ne veut rien dire et qui souille le coeur. Il manque désormais à l'appel de l'âme, la sincérité, la vérité, la loyauté, la gratitude. La clarté - claire et ses odieuses manipulations auront participer à l' implosion de toute une famille et décidé d'une vie d'absence, de silence, ici- bas ! Splendides desseins, à souhaits baptisés ...
Evoquons encore et ailleurs le cynisme infecte d'un égoïste virtuellement programmé, numérisé à outrance, séquestrant sa fille et la mère durant deux décennies, en Italie !
Relatons, quant aux calculs et aux mensonges d'une " belle fille " allant à l'encontre de sa famille d'accueil !
Il importe de le dire, d'évoquer sans détour ce quintuple deuil sur le vivant que nous affrontons, qui affecte certainement bien d'autres familles.
Et quand disparaît à tout jamais notre petit compagnon, notre merveilleux petit fils non humain, alors nous mesurons à quel point cette peine est immense, inversement proportionnelle à celle que nous devrions ressentir face à nos deux enfants ( 42 et 46 ans déjà, respectivement père et mère de 3 et 1 enfants ) qui nous aurons barré le chemin des petits enfants, qui nous méprisent et nous détestent par le biais du couple, qui n'aurait jamais eu de parent ni de petit enfants à confier à leurs deux grands - parents !
Une cellule de crise prend le dessus sur un foyer. Un clan, un dérangé et une manipulatrice s'emparent du quotidien, gomme de facto toute obligation, convenance, occasion de partage. La bru enlève à son propre compagnon le droit de garder et d'avoir lui aussi des parents, sachant que ce triste sort est également et exclusivement réservé à leurs propres enfants.
Pareils êtres poursuivent et creusent le fossé depuis bientôt 15 années sans n'avoir jamais fait la démarche, l'essai, la tentative d'une médiation, d'un possible retour des choses : consternant ! L'époux paie les frais d'une très lourde addition ! Comment accepte - t - on les termes et les clauses de ce diktat sans justement se poser les justes questions ?
Nous avons opté pour la vérité. Nous en payons le prix lourd, des deux côtés, dignement. On ne cède ni aux mensonges, encore moins aux infectes manipulations venues du froid !
Ils se retrouvent donc, du jour au lendemain, orphelins de leurs propres parents, tout en participant à la " séquestration " de leurs enfants, depuis près de quinze années, à quelques kilomètres de la maison ... Ils détiennent sans doute la palme d'or de la plus jeune et précoce des ruptures familiales, en surcroît fomentée par leur tutelle.
C'est là une immense preuve d'amour de la mère vis à vis de sa progéniture. Quant à celle dévolue au con - cu - bain, permettez - nous d'en douter. Aimer quelqu'un, ce n'est pas accepter les termes unilatéraux de la discorde, se réjouir de cette liberté ainsi recouvrée, les mains libres, exploiter à ce point une telle situation, concevoir que l'on puisse s'enliser, maintenir un contexte de non - retour entre les plus proches et leur histoire, quelle qu'elle fût
!
D'entre la rumeur, la manipulation sournoise, les perfides pressions, les dès ont été jetés ; une situation définitivement scellée. Un avenir sans autre racine que le gouffre inexorable des questions. Une famille dont belle fille et belle famille peuvent se targuer d'avoir à toujours brisé et faussé tous les liens du coeur d'une autre famille.
Nous la félicitons, elle aura réussi, gagné un tragique pari ... Tout lui est donc acquis. C'est une médaille d'or, une croix portée au nom de l'amour, en Christ ! Quant au fils, à la fille aînée, ils ont perdu l'essentiel, du moins de ce côté du ciel dont il manque la moitié des levers de soleil.
Il est des blessures que l'on peut toujours soigner. Mais il est des bactéries qui les infectent et les font suppurer, se propager tel l'anthrax, sans rémission aucune. Nous en sommes désormais là.
Et si d'aventure nous devions passer, sachez que la mer, à jamais, nous dispersera ; Elle m'en a fait la promesse et la tiendra
Enfants, petits enfants ! Que je vous plaigne, profondément, vous qui prétendez avoir eu des parents, des grands - parents indignes, qualifiés comme tels par les voies du mensonge, du parjure et de la chose de facto actée que l'on impose à l'innocence.
Petits enfants, posez - vous la question : qu'aurons -nous perdu ? Tant d'années de liens, d'amour, de précieuses expériences, tant de souvenirs à garder au tréfonds de l'âme, en esprit, de tout coeur. Tournez - vous vers celui et celle qui en auront ainsi décidé, alors que raison et dicernement manquaient encore au choix libre et en conscience.
Au fils qu'il n'est plus : regarde bien autour de toi caracoler la joie, le bonheur, car il te faut toujotrs doubler la mise et per - durer, te maintenir en équilibre. Ne prends plus de poids, tu vas chuter de très haut. Le muscle est inutile, " l'essentiel est invisible pour les yeux " !
- Un pair et la mer -
La porte du foyer reste ouverte aux petits enfants
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Le 09 Mars 2023
" PETITS ENFANTS "