MEGA - BASSINES ! ...

Evaporation / 65 % pour des sols cultivés immenses  exposés à l'évaporation  / 35 %  ! On fait les comptes. Non intégrées, non arborées, hideux, préjudiciables à l' Hydro-Géologie des lieux, du site : un  non - sens éco -  logique absolu, des équipements illégitimes, incompétences notoires, dangers ressources à venir

LA DEMESURE

  TOUJOURS 

https://www.liberation.fr/environnement/ressources-en-eau-lespagne-envisage-de-vivre-sans-retenues-20230326_XZ2ICZZRCZABVK7EY5BR7XGS4Y/

Il y a l'impudence, l'arrogance, la suffisance  patentées  et  doublées d'incompétence et d'incurie ! Et puis il  y a la violence, unilatérale, dont on pointe partout les méfaits ?  On crie à la violence, certes, mais à moins de se torturer, il faut deux protagonistes pour en parler objectivement. Dans  tous les cas, elle s'exerce alors des deux côtés et avant de stigmatiser à outrance  l'adversaire, l'opposant, le contestataire, il importe plus que tout de remonter aux sources et causes des désordres qu'elle engendre. La condamner est légitime et  essentiel. Ne voir, se focaliser que  sur les seules exactions violentes sans en comprendre, en discerner le cheminement amont n'est pas accpetable, constitue dès lors une sorte de préalable au désordre, à la violence, par fin de non recevoir, d'autant plus que la décision du politique  sait  jouer et se  défaire de tout argumentaire scientifique et technique, en l'occurence et pour ce qui concerne les méga-bassines, les études en hydro - géologie poussées et en cours, de plus en plus précises et irréfutables.

Deuxième point ! L'on ne peut détourner une structure artificielle  de ses obligations premières, à  savoir : la destination de ces eaux de stokage aux populations locales, en priorité... Nous voyons à quels points de tensions se hissent les grandes exploitations agricoles concernant les besoins actuels en eau ! 

Convenir, en outre, du caractère démesuré de ces retenues d'eau gigantesques,  soumises à très forte évaporation, non intégrées ni boisées, végétalisées, exclusivement ou majoritairement destinées à l'arrosage  et à la survie d'une agriculture intensive de grande ampleur, totalement inadaptées aux nouvelles rigueurs du climat méditerranéen,  valide  un non sens majeur très préjudiciable à l'environnement, pour la suite ...

D'autre part, rien n'aura été fait qui canalise les surplus d'eau de pluies filant  tout  droit à la mer, en excès, lors des grandes crues, en mesure de satisfaire aux besoins  du milieu, des zones d'irrigations naturelles des sols, du remplissage temporaire de ces résrervoirs à ciels  ouverts.

Il est irresponsable de puiser dans les acquifères pour subvenir au gigantisme d'une agriculture aux abois, polluante, sans lendemain

! 

L'eau n'est  pas une affaire pour cabinets conseils. Le sujet devient très préoccupant. Il y a encore matière à réflexion, innovation, recoupement des connaissances et des compétences respectives.

En la matière, que le gouvernement  s'en tienne à ses fonctions d'administrateurs des dépenses sans conditions et laissent aux collèges d'experts, de scientifiques, de techniciens toutes latitudes  afin de conduire des stratégies opérationnelles rapidement et surtout, respectueuses des exigences d'un environnement en souffrance, surexploité, dévasté, pollué, exsangue.

Redessiner les contours du temps, revenir  à la mesure sobre, à une ruralité réinventée, aux terroirs, à l'agriculture artisanale de qualité en mesuer de repleupler, de reboiser, durable et biologique.

Il y a tant de choses à faire, envisager sans semer ces images de chaos nourrissant les abrupts stériles d'une violence attisée par l'excès de violence, la pauvreté des initiative, le dévoiement  des ressources naturelles en situations de sursis alarmantes

! 

- CORSICA ... GO56 - 

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Le 29 Mars 2023