DU CYCLE DE L'EAU ! ...
TRES IMPORTANT
Une information juste, susceptible de sensibiliser, d'éclairer, de comprendre tout ce que le cycle de l'eau recouvre de réalité, d'urgence, de paradoxe, de principes directeurs incontournables et prégnants qui partcipent de la connaissance et de l'éco-responsabilité citoyenne et civique que l'on est en mesure d'attendre, d'espérer, de voir étendue à la population, si tant est que celle-ci obtiennent les moyens équitables pour y tendre et parvenir ...
Ainsi de la tous les aspects, de toutes les mesures indispensables à la Transition Ecologique vitale dont les finailtés commerciales et mercantiles, sujettes à profits, s'avèrent inacceptables et préjudiciables à l'évolution durable de nos sociétés. Une Transition Ecologique efficace ne pouvant se concevoir sans une pré - valence sociale absolue ! Ainsi également des pays en voie de développement ou en retard en matières de gestion et de précaution durables et vertes.
Si les Nations, les Etats les plus riches sont en mesures de surarmer un pays en guerre durant des années, elles sont dès lors, au regard des coûts faramineux des armes, en capacités de subvenir aux attentes et aux besoins techniques des pays nécessitant assistances techniques et matérielles.
Sans eau, un pays n'est plus rien, périclite sur les plans naturels et humains. Les investissements sont à consentir maintenant et non dans dix ans. Les technocrates ayant déjà à leur passif des décennies de retard sur le comment retenir l'eau avec mesure, sobriété, respect des grandes priorités hydro - géologiques.
Mais revenons au propos de l'un des climatologues du GIEC sollicité hier sur A2 - Météo - Climat, le 11 Mai, après le JT de 20 Heures ! En effet, questionné sur la répartition des pluies tombées sur l'Hexagone depuis le 01 Mai 2023 , voire bien avant, de façons extrêmement inégales, entre le pourtour Méditerranéen, le Grand Sud - Ouest de la France et le reste de l'Hexagone, ce dernier opposa : d'une part les spécificités du climat influencé par le Proche - Atlantique et la Manche et le climat Méditerranéen.
S'il existe des différences notoires, répondons au membre du GIEC que malgré ces spécificités respectives, les bords de la Méditerranée, ( Occidentale, du moins ) et, surtout l'Île de Corse étaient par le passé abondament et durablement arrosés. Les extrêmes se produisaient très rarement et l'Île passaient allègrement les étés, tout comme les cours d'eau, les lagunes, les marres temporaires. Les réserves profondes se faisant principalement en Avril - Mai et en Octobre - Novembre... Idem dans toutes la Provence, les Pyrénées Orientales et l'Hérault en crise aujourd'hui.
L'on ne peut expliquer les déficits majeurs actuels par le seul fait que les montagnes, les reliefs barrent la route aux nuages, assèchent une masse d'air dont les eaux exclusivement " atlantiques " seraient déversées en crues lors des épisodes Cévenols et Méditerranéens.
Que l'on nous explique pourquoi nous connaissons aujourd'hui de tels écarts aux moyennes des années 70 - 80 - 90 - 2000 - 2010 ? Il y a bien raréfaction et géolocalisation très parcellaires des précipitations et acuitisation concomitante du manque de pluie, des épisodes de sécheresse, des canicules, etc !
Notons enfin la fin quasi programmée de la vie de l'atmosphère au-dessus de la Méditerranée, avec un ralentissement remarquable de l'action des Grands Centres Permanents Météorologiques, au profit de situations météorologiques plus extrêmes et courtes dans la durée.
CORSICA ...GO56
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" LE PACTE NATUREL CORSE " - " URBANISME INSULAIRE "
Le 13 Mai 2023