L'AVENIR DES VAGUES ?...
Une question que se posent désormais les adeptes de la Glisse tractée, - sans adjonction de moteur ou de tout autres procédés électro-mécaniques, SVP ! -
Tout autour des Mondes, vers les destinations et les raids aventures extrêmes les plus prisés, il n'est plus du tout sûr que les Spots actuels de la Planète offrent toujours les mêmes potentiels vagues que nous aurions connus par le passé.
La donne climatique dans son ensemble, le contexte environnemental, géo-physique, l'élévation progressif et accéléré du niveau des mers et des océans constituent désormais les paramètres et les facteurs inévitables de la rapide métamorphose des Spots et Sites de pratiques extrêmes.
Il en est de même pour ce qui concerne tous les milieux naturels spécifiques et les grands esapces : montagnes, déserts, forêts, fleuves, mers inétrieures, etc ! ... L'impact est total, les répercussions se révèlent irréverssibles, quoi que nous entreprenions, l'inertie est trop forte et nous pousse à embrayer le funeste pas des conneries de nos politiques jusqu'à la fin de ce siècle et encore, sous réserve d'aggravations patentes et inévitables.
Vous nous direz que c'est là un des aspects bien dérisoire de l'évolution catastrophique de la civilisation, que le monde livre en spectacles. Faits terrifiants, horribles, affligeants, inimaginables quant au sort et à la destinée de la condition humaine et animale, mais le constat nous conduit à nous interroger tout de même sur les conditions de ces changements, à mettre sur la table tous les effets susceptibles d'impacter le milieu naturel marin ou lacustre, fluvial, montagneux, etc ...
Actons, au gré de la réflexion et de la prospective, les secteurs potentiellement menacés de changements, relativement à l'univers des vagues, à l'évolution inquiètante des tempêtes, à l'érosion marine et du domaine maritime, à l'exposition aux sur-cotes de marées et aux vagues de submersion, à la nature même des vagues et de la houle qui, sur un même site, pourraient devenir plus dangereuses, massives, hautes, rapides, exposant dans un premier temps les pratiques et, au-delà; le littoral, les activités qui s'y seront développées, ( tourisme, infrastructures, équipements, structures d'accueil, etc ... ! ).
Nous pourrions assister à la quasi disparition de nombreux sites prestigieux mais également à la dangerosité de leur nouveau potentiel sur-exposant tout le domaine des pratiques et d'exploitations.
D'autres sites, cependant, surgirons ailleurs, sans que l'on sache vrainement où ; des études et des prospections s'imposeront à très court terme et il importe de s'y intéresser dès maintenant et de très prés.
Enfin, souhaitons que les politiques et les géographes - géologues - hydrologues - paysagistes saisiront la puissance publique afin qu'aucune structure et édifice artificiels ne viennent contrecarrer la lente métamoprphose des traits de côtes et des rivages, bien au contraire, afin que tout soit mis en oeuvre en vue d'une autre recomposition naturelle, adaptée, durable, renforcée par tous les procédés dits authentiques et viables
!