OPTIONS REHABILITATIONS !...
Sur ce cliché, l'on remarque les puissants phénomènes de submersion ; le littoral encaisse depuis la nuit des temps. Quant aux rivages meubles, le bâtis, les murs, l'accaparement des zones dunaires arrières fragilisent le trait de côte. Réhabiliter, oui, mais sans ne rien contrarier ; reculer, laisser faire les éléments, les dépots alluvionnaires. Surarmer de tels espaces répercuterait ailleurs des désordres irréversibles.
https://reporterre.net/Union-europeenne-nouveau-revers-pour-la-loi-restauration-de-la-nature
2030
Une date barrière, un repère sur l'horizon, une promesse à tenir. La Planète va mal et le fait savoir de façons parfois terrifiantes. Il ne pleut quasiment plus en Himalaya, les traits de côtes reculent, les méga structures agricoles et d'élévage caracolent, polluent. Les sécheresses menacent surt tous les fronts des incendies, l'eau gaspillée se raréfie et se perd dans les arcanes de la vétusté des réseaux
Après des décennies de déforestations massives, d'appauvrissement et d'empoisonnement des sols, des lacs, des cours d'eau, la perte inexorable des glaciers, le temps presse, il n'y a plus un jour à perdre.
Au diapason du recul des énergies fossiles, entrevoir et mettre en synergies la réhabilitation de tout ce qui aura été modifié sans étude d'impact, bouleversé, dénaturé aux profits du rendement et du chiffre aveugles et sans scrupule.
La Nature ne peut assumer ce que les activités humaines lui auront infligée depuis des décennies, quel que soit le milieu considéré, au regard des boucles de rétroactions positives en cours et à venir.
De l'adaptation du milieu urbain aux futures canicules, de la sécheresse bientôt endémique aux accaparements spéculatifs, immenses et inconsidérés des grands espaces côtiers, de montagne, ruraux, urbains :
réhabiliter, reconsidérer la végétalisation, le recouvrement d'espaces naturels équilibrés et diversifiés, plus résilients au regard des changements à venir et inévitables.
Recouvrer nos sols, notamment en ville, là où le bitume et le béton auront tout recouvert et conquis, sans le moindre arbre ou îlot végétalisé !
Reprendre tous les anciens réseaux d'eau naturels périphériques et intra - muros de toutes nos agglomérations afin de faciliter le transit saisonniers des eaux pluviales, nivales.
Il y a tant de chantiers à mener, à cogérer en fonctions des compétences, des interelations, des champs scientifiques, des avancées technologiques durables et performantes.
Chaque jour démontre l'incurie et le mépris des politiques aux affaires. De visu, rien ne change, ne se prépare, ne s'adapte, n'évolue ! Tout est affaires de sous, de budget, comme si la qualité de la vie était partie négligeable, à différer, hors sujet !
Il est hélas ! plus urgent de fabriquer des obus en quantité astronomique, des obus destructeurs, de vendre des armes, de passer maître dans l'art de tuer et du négoce juteux, connexe
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AU TOUT VENANT DES VILLES DES CAMPAGNES DU LITTORAL
- Abattages quotidien d'arbres centenaires dans et aux abords des villes, des communes ;
- Parkings _ grandes surfaces - hangars : des hectares de bitume, de ferrailles surchauffés à blanc ; multiplications des îlots de chaleurs ;
- Des sols stériles et contaminés nécessitant des années de réhabilitation naturelle ;
- Exploitation et pillages des nappes phréatiques à des fins de cultures intensives anachroniques ;
- Déficit de structures intégrées et adaptées, de retenues d'eau préventives au niveau local ;
- Des centaines de kms de littoral à jamais figés, après avoir ravagé lieux et sites remarquables ;
- Un laisser - aller révoltant quant aux milliers de kms de haies retirés, de rus, de chenaux ou canaux naturels aménagés et entretenus antan par nos anciens, aujourd'hui retirés, encombrés de monstres, de déchets, de décharges sauvages ;
- Déficit consternant au niveau du reboisement, tant en qualité qu'en quantité, notamment après les incendies, au regard du changement climatique avéré et spécifique de la région ;
- Occupation des sols valant passe - droit ou prébendes, principalement du domaine littoral où les propriétés s'invitent au bord de l'eau, niant séverment à la partie postérieure, amont des dunes et des rivages ;
- Si la montagne par définition se protège et se défend ( Milieu rocheux et altitude ), pointons et dénonçons la surexploitation des torrents, des chemins de grandes randonnées, des forêts, des niches écologiques majeures, la surpopulation estivale ...
- Concernant la chasse, celle - ci devra être totalement repensée au service du Pacte Naturel, dans les nouvelles règles d'un Contrat Social aujourd'hui vital et équitable.
- La Condition Animale, de concert, est à revoir d'un bout à l'autre de la chaîne alimentaire, du milieu, des us et coutumes par trop sanguinaires et déraisonnés, préjudiciables de nos jours ;
CORSICA ... GO56
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" ENVIRONNEMENT "
Le 27 Mars 2024
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