L ' INSUPPORTABLE DENI EN MARCHE ! ...
L'argent ne se mange pas, ne se boit pas ! La curée sera certainement éphémère, n'aura que trop duré.
Toute mesure d'adaptation est bonne à prendre, certes ! mais à quelle hauteur, pour qui, quel type de pays ? sinon un pis - aller face aux logiques mercantiles et tentaculaires dont l'état huile les rouages... Au coeur de l'asservissement des parties, au plus haut niveau, que peuvent donc faire et initier d'autre les représentants de la nation ayant engagé un serment allégeance aux méga - structures de production et bancaires ? D'où ces râtés à l'allumage, ces retards, ces effets d'annonces grevant le Monde entier depuis des décennies. Relevons que la majorité des impacts portés à l'encontre du climat relèvent en majorité est à imputer aux pays les plus riches mais également en voies de développement, un développement orchestré sur des bases et un socle productif sale, hautement et à très grande échelle : polluant
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PRE - AMBULE
Le Canada attend plus d'un mois pour demander de l'aide à l'extérieur, dans sa lutte désespérée contre les Méga - Feux de forêts ? Inconscience, orgueil des politiques canadiens ou alors, personne ne se serait - il visiblement proposé afin d'intervenir aussitôt, pas même le géant voisin surarmé, suréquipé militairement, alors que ces feux impactent aérologiquement le Continent Nord - Américain, détruit un gigantesque puits carbone et la biodiversité !
Aucun autre chef d'Etat aurait fait montre de solidarité, de prévenance, de soutien logistique alors que plus de 1 MILLION d'Hectares de forêts ont été ravagés par les flammes ... Une superficie très supérieure à la Corse ! Les fumées s'étendent sur plus de 2,7 millions de km2, gagnent la côte atlantique des Etats-Unis et l'Arctique.
C'est que l'on nomme la politique du pire, l'incurie, au-delà des conditions pourtant propices aux incendies ! C'est qu'il se passa à maintes reprises en Australie, en Californie, en France, lorsque nous déplorions une aide extérieure qui vint, si tardive, etc ! Où sont les propositions d'aides ?
L'Espagne est déjà en feu ! Mr Macron est à Oulan - bator, rêve de consensus financier international en redresseur de torts
PREMIER POINT
DEUXIEME POINT
Le temps n'est plus aux grands débats, aux consultations, aux effets d'annonces et faire - valoir ! Lorsqu'on est efficace, l'opinion suit et comprend l'exemple, adhère sans descendre dans les rues ... Il ne suffit plus de constater, de tergiverser et de s'enliser, de feindre, d'espérer s'adapter : tout va désormais trop vite et s'emballe. Les faits, les observations, les mesures, les travaux des scientifiques relégués dans les fonds de tiroirs le confirment, hélas ! Nous y sommes et la lutte presse !
CONSTAT REACTUALISE
Incompétence notoire des gouvernants successifs et inefficience programmée des politiques actuelles et à venir ! En effet, les dispositifs en place qui s'occupent à combattre les effets, osent prétendre " S'ADAPTER ", tout en maintenant au zénith et en exacerbant les temps de travail, de production et par voies de conséquences les émissions toujours majoriairement carbonées qui réchauffent ...
Chez ces gens - là, on ne prévient pas, on se bat contre des moulins à vent en feignant de se placer, de se situer dans le hit - parade des écologies politiques d'avant - garde et modernes.
Un leurre, des mensonges, un véritable et consternant déni de vérité et de lutte contre les causes directes et embrasées du réchauffement et du dérèglement climatiques, qui sévissent de surcroît avec plus de vigueur sur tout l'Hexagone et le pourtour méditerranéen, indéniablement.
L'objectif des Accords de Paris de Décembre 2015, déjà, ayant été fixé à +++ 1. 5 ° C de hausse moyenne de la température mondiale, avec un espoir de la contenir à une valeur inférieure qui augurait pourtant d'une réelle victoire. L'Humanité, la Civilisation prenaient actes, se fixaient un réel cap commun, avec raison, discernement
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DE L'INERTIE A L 'EMBALLEMENT
Mais nous voyons combien ces Accords ont été bafoués, ignorés, méprisés par le grand capital, ses logiques infernales de production - consommation - compétitivité - commerce et circuits longs - pillages et sur - exploitations des ressources, sur fonds de transitions écologiques et énergétiques avortées !
Les émissions n'ont cessé de croître, d'affoler la spirale infernale productions - rejets, avec effets inertiels avérés et non contenus. Les politiques et les stratégies de développements concurrentielles prévalant à toutes autres considérations de prévenance, de sagesse, de mesure et de sobriété.
Ajoutons à cela le différentiel énorme qui se maintient entre les pays riches et les pays émergeants, à tous les niveaux des sources majeures de pollutions en capacités actuelles et exponentielles de détruire le climat global.
Ces dispositifs mis en place ne devraient constituer que la finalisation d'un processus général, fondamental, inévitable et à mettre en branle dans l'urgence, du moins en Europe, aux USA, en Inde et en Chine, au Brésil et bien entendu en Russie, sans oublier les grands ensembles australiens, africains !
Mais déplorons aussi les conséquences catastrophiques des guerres et des conflits sur le Climat ! Les économies de guerres afférentes, de la fabrication des armes à leur commerce et exploitation - utilisation quotidienne de grande ampleur et intensité aux effets désastreux... L'économie de guerre enrichit les élites captitalistes ; mais à quels prix pour la Terre ?
Observons de très prés l'éco - civisme dégradé, inexistant des populations, des publics ne lâchant rien quant à leurs habitudes de grands voyages d'agrément aéroportés, à travers le monde entier, permettant aux grandes compagnies d'opérationnaliser bientôt un doublement de la flotte d'aéronefs !
Idem des compagnies maritimes ;
Idem des constructeurs automobiles autorisés à commercialiser des véhicules à énergies fossiles jusqu'en 2035, - sous réserves de potentiels reports - !
Idem de la fabrication en masse des véhicules électriques dont les coûts carbone atteignent également des sommets
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LE VIDE JURIDIQUE DU CHACUN POUR SOI
Mais au-delà du principe de non - ingérence protégeant et épargnant les pays " destructeurs " de biodiversité et de climat, qui opposent un refus radical à toute velléité d'éco - civisme et de responsabilités planétaires : est - il normal et souhaitable que des nations s'engagent sur la voie drastique des émissions zéro carbone quand d'autres, et non des moindres, à niveau de technologie égal et élevé, dévastent, détruisent, brûlent, souillent, rejettent, émettent à l'envi et tous azimuts, sans le moindre souci, sans être inquiétés, rappelés à l'ordre et contraints de stopper pareilles sources et causes de nuisances généralisées ?
Un vide juridique à l'international qui va grandissant à l'instar de ce que nous connûmes à travers les océans et les mers pillés ! Notons ce qu'il se passe en Afrique, au Brésil au niveau de la gestion des forêts, des grands espaces, de la monoculture intensive, de l'élevage tentaculaire et de ses conséquences environnementales majeures, etc
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ON LUTTE D'ABORD POUR MIEUX S 'ADAPTER SIMULTANEMENT
S'adapter, oui et, de suite, en vue du pire, soit ! Mais oublier les coûts, les contraintes des lois de finances et optons pour le " Quoi qu'il en coûte " ; il est vital de recourir à la planche à billets ! Cela fut déjà fait pour la dernière pandémie contre laquelle les sociétés purent et peuvent encore agir vite et efficacement ! Mais de l'emballement climatique mortel, sources d'un chaos planétaire, entre manques et extrêmes tueurs ! Peut - on encore parler de dépenses publiques à ce stade de potentielles et imminentes dévastations ?
S'attaquer aux causes connues, à ces pans d'une économie politique capitaliste et aveugle, disproportionnée, maintenant des cadences de productions - rejets infernales et mondiales, ces pans ancrés et arc - boutés sur une inertie consumériste à outrance aujourd'hui écocidaire pour la Planète, obsolète, inadapté, tentaculaire.
Freiner ainsi voire stopper l'émergence de nouvelles boucles de rétroactions positives dont l'homme et l'outil en sont les manipulateurs, les initiateurs effrénes, et ce, avant qu'elles leur échappent de façons irréversibles.
Lien ci-dessus : un exemple d'adaptations aux risques majeurs que font peser régionalement les causes directes de hausses des températures globales ! S'en tenir à ce stade sans s'attaquer à la diminution des émissions de CO2 et méthane dans l'atmosphère demeure un coup d'épée dans l'eau au regard de la croissance pérenne, grandissante des rejets ou comment faire du sur place, subir de plein fouet les Méga - feux futurs, à l'instar du Canada actuellement, en direct ? Ne jamais oublier que le feu aura toujours 10 longueurs d'avance dans un contexte quotidiennement dégradé et asséché ! De " super mesures " mais, hélas ! vite débordées, à terme impuissante face aux puissances de dévastations.
DROIT DANS LE MUR ET PLUS TÔT QU'ANNONCE
Dénis récurrents, mensonges, écrans de fumées, velléités, objectifs, stratégies inadaptés et circonstanciels ou sujets à prébendes, collusions, accointances de marchés et de politiques économiques régionales figées, de guerres, de sur - exploitation des ressources fossiles ( Charbon - Chine - Allemagne - Inde ).
L'Etat, les gouvernants et les décideurs, le grand patronat n'ont pas encore pris la mesure et évalué les risques d'un Accident Climatique Majeur, à l'échelle de toute la planète, irréversible et contre lequel il serait vain de lutter, de s'adapter, un point de bascule allant bien au - de là des prospectives actuelles de +++ 4 ° C de hausses globales des moyennes de températures. Si tel était le cas, quels extrêmes impacteraient alors ces contrées validant et certifiant hier et aujourd'hui, en Asie, en Australie, entre autres pays, des valeurs supérieures à 50 ° C et avec quelles conséquences sur la Vie, la biodiversité et la chaîne alimentaire vitales ?
Ne pas se voiler la face, mettre les industriels et les économies au pas d'une nouvelle ère de sobriété, de décélération de l'arsenal productif assujetti au pillage des ressources naturelles, à commencer par l'AIR et l'EAU !
Il reste totalement illusoire de parler climat - tempétaure - Accords de Paris - tout en préservant de tels indices de production - consommation à travers le monde.
Lançons, ouvrons quelques pistes comme nous le fîmes il y a près de 15 ans, déjà :
- Réorganiser et réorienter en le diminuant le temps de travail ;
- Réaménageons le temps non contraint et étendons - le aux quatre saisons, par zones, en opérant ainsi une rotation dans la durée, éviter les gigantesques migrations estivales extrêmement impactantes pour le climat ;
- Suscitons et encourageons l'éco-responsabilité sociale, à tous les niveaux, de la ville aux campagnes ;
- Ralentissons en la modernisant la machine productive et les circuits de la distribution ramenés à la proximité ;
- Modernisons l'industrie à travers maintes mesures d'ordre énergétique et de traitement - tri des déchets, d'économies des denrées et des matières premières recyclées ;
- Basculons vers une économie verte, mesurée, équitablement répartie ( ruralité à redécouvrir, à épargner, propre, mesurée ) ;
- Changer nos habitudes alimentaires au regard de la consommation de viandes ( Urgent )
- Mettre en place des facilités d'ordre social et équitables, proportionnées aux ressources afin que tout le monde ait accès à la transition selon de justes proportions, au prorata du pouvoir d'achat, sans attendre, avec mises en oeuvres administratives à effets immédiats
PERSPECTIVES ENCORE VIABLES
Nous voyons à quels points de tension et de rupture avérés la lutte contre les causes du réchauffement climatique aura pris de retards, à tous les niveaux de l'organisation des sociétés, des états, des pays et des nations regroupés en grands blocs régionaux. Il s'agit là d'une fragilité et d'une faiblesse majeures reléguant les mesures d'adaptations au second plan d'un dispositif bancal, parcellaire, aux temps de latence et de mis en oeuvre préjudiciables à leur généralisation.
La lutte contre les causes réelles devant s'accompagner de plus justes et vastes initiatives et politiques d'adaptations, diversifiées et spécifiques de nos régions.
Le niveau de la lutte contre les vraies causes du réchauffement climatique demeurent au plus bas : consternant, affligeant ! Les profits, les actions, la monnaie, les collusions, le grand lobbyisme, les multinationales, les rois du pétrole, les Musk et consort, chemise - cravate redresseur de torts réglent toujours le ballet, tambours battants, depuis les palais des glaces, à la table des rois et des valets, sur fonds de ventes d'armes et de viandes. Nous attendons des chiffres tangibles témoignant du ralentissement de toutes les causes générant les formes d'un dérèglement climatique planétaire, d'une part et, d'autre part, les chiffres des actes concomittants d'adaptations, doublant ainsi, voire décuplant les effets positifs d'une réelle et nouvelle écologie - politique d'état, régionale et mondiale, autour d'un vaste projet, selon de vrais engagements de sobriété et d'équité.
Il est à ce stade de la réflexion, une évidence irréfragable ! En effet, tous les indices de production - consommation caracolent, faisant de la Croissance nationale mondialement inter - connectée et juteuse un indicateur de réussite majeur de Civilisation, de technicité, de compétitivité.
Mais nous vivons déjà un contexte de dette écologique démontrée depuis plus d'une décennie, un moratoire annuel de plus en plus précoce et l'on voudrait faire accroire aux dispositifs d'adapation sans toucher en définitive aux causes réelles du dérèglement climatique, soit les abus et le gigantisme actuels que caractérise la fuite en avant des politiques nationales ? Ineptie, supercherie ! Si " l'on ne fait pas d'omelette sans casser des oeufs ", l'adage ou la maxime ne s'applique guère ici où oeufs et omelettes sont avariés et le cuisinier : incompétent
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+++ 7 °C en 2100
U SGIO MINISTRU
Soit un Monde 100 % invivable
Non, Mr Béchu, la rupture climatique ne se résume pas à une courbe déjà tracée, aux palliers programmée selon les exigences et les priorités de productions actuelles ; c'est là un suicide ! A ce rythme, soyez sûr que 77 ans de plus, porteront la réalité à près de 10 ° C au-dessus des normales de l'ère pré-industrielle... Nous ne sommes qu'en 2023 et déclarons ensemble les dégâts causés depuis l'an 2000, uniquement
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Demandons au DAX s'il se soucie de mesures adaptatives et de luttes contre le fléau climatique
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CORSICA ... GO56
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" ACCIDENT CLIMATIQUE MAJEUR " - " ANTHROPOCENE "
Le 21 Mai 2023
Contribution civique et éco - responsable d'urgence à la lutte contre les causes et les effets des causes du dérèglement climatique national et mondial majeur perpétrées par les décideurs - dirigeants, gros industriels et affairistes - lobbyistes