FORETS / CYCLE DE L 'EAU ! ...
Il y a bien longtemps que les prémices d'un tel constat sévissaient ! Encore une fois, mille râtés à l'allumage et à l'action concertée, soutendue par les travaux des experts et des scientifiques, seuls en mesure de mettre en exergue et en synergies leurs conclusions, leurs thèmes de recherches, leurs compétences, de vraies compétences, loin des calculs politiciens.
Moins de forêts se traduit par une diminunition, une disparition à terme du cycle de l'eau. Les glaciers, les forêts, les sols, les Islandis : le bilan et les causes humaines sont désastreuses : nous perdons chaque jour les capacités planétaires de régénérescences des ressources naturelles, environnementales, outre les cycles complémentaires et connexes.
Oui, Mr MACRON, travailler plus et plus longtemps, exacerber les paramètres de la croissance en situations de transition durable larvée, nous ne pensons pas que vous ayez tiré là les bonnes cartes. Il y a là comme une ineptie ! Produire plus, rejeter et émettre plus ... ?
Mais bien au-delà, situer les risques, les enjeux de cette inertie irrévocable, de la mise en synergies généralisées de centaines de boucles de rétroactions et de feed - back positifs augurant d'un avenir environnemental et planétaire très sombre, aggravé, en situations alarmantes de déséquilibres planétaires majeurs.
Ajoutons le surcroît des guerres, des armes, des destructions massives d'habitats naturels. Evoquons cette coupe réglée d'une forêt moscovite rasée ; décision de Mr Poutine d'y installer en lieu et place un complexe de batteries anti-aériennes, d'usines d'armes ...!
Ce n'est là qu'un exemple infime pris dans le vaste concert international des exactions perpétrées à l'encontre de la biodiversité et de la Nature, des forêts.
Nous ne serons bientôt plus en mesure de produire, par manques d'eau et causes diverses comme nous nous assisterons aux bouleversements associés du couvert végétal, où que nous soyons, à savoir sa disparition, sa raréfaction, son inadaptabilité aux nouvelles conditions climatiques, aux surchauffes régionales.
Les forêts constituent un biotope unique, précieux, vital. Il est grand temps d'en réhabiliter la protection, la sauvegarde, son extension jusqu'aux niveaux péri - urbains et urbains...
Quant aux gigantesques complexes agricoles axés sur la monoculture intensive, ils doivent disparaître ou s'adapter. Sources d'évaporations et de consommations - pertes d'eau massives, les bénéfices risques - profits sont quasi nuls ; dangers imminents !
Reboiser, reconstituer et fragmenter ces grands espaces stériles, reconstituer les haies d'antan, revenir à la mesure, opter pour des cultures temporairement spécifiques des temps de sécheresses, et, bien évidemment, sans recours aux principes dévastateurs des BASSINES, opter pour des captages des eaux de pluie habituellement rendues à la mer, dont la plus grande part est perdue pour les sols et les nappes : une parade efficace aux longues périodes printanières et estivales, automnales, sans précipitation.
Il existe mille solutions adaptables, mesurées, sobres. Volonté politique, certainement, mais plus encore : faire des économies sur le structurel, parler encore et toujours coûts ! La situation n'est plus tenable... Les politiques publiques virent à l'incompétence notoire età l'irresponsabilité. Les ministères ne sont plus en capacités de faire front aux contextes actuels et dégradés, impactés.
Des commissions d'experts, à l'instar du GIEC, doivent rendre leurs conclusions aux politiques - gestionnaires sommés et chargés de faire appliquer les conclusions de travaux et d'aménagements enfin efficaces et durables, au-delà de l'esprit partisan et de toutes les manoeuvres, dessous de table que l'actualité révèle quotidiennement.
L'EAU LA FORÊT SONT INEXTRICABLEMENT LIEES
!
- CORSICA ... GO56 -
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face aux risques majeurs de pénurie