EVITER LE MASSACRE ! ...
NON
Nous le disions, il y a des années, déjà ! L'écologie au sens noble du terme, dans l'urgence, ne peut qu'être POLITIQUE et de là, présider aux nouvelles stratégies de développement durable et industriel de tous les pays, dans un vaste concert harmonieux susceptible de préserver notre cadre et notre milieu de vie, dans la diversité et la gestions sobre et mesurée de nos ressources planétaires. Ce qu'il se passe au niveau des mers et des océans, des forêts, des ressources en eaux, des choix économiques, signe le déclin de notre civilisation
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AH ! Pour transporter des millions de bêtes à viandes à travers le monde et s'enrichir à qui mieux mieux, en générant d'atroces souffrances durant de longues traversées,
Oui, l'homme et le système pervertis des affaires juteuses et sanglantes savent y faire, pour le mieux, au plus pressé ; aucun problème ! Les navires - soutes à fanges et à lisiers ont été conçus pour cela ! Détestables menées commerciales qui nous conduisent justement en Australie, où il fut un temps, des centaines de snipers s'entrainaient en tirant sur les chevaux sauvages, sur les dromadaires, - déjà -, en les abattant depuis des raids organisés par hélicoptères ; fin tragique et ignoble pour des milliers de chevaux sauvages dont les populations sont abandonnées au triste sort de l'indifférence, de l'exploitation : Ingratitudes patentées ...
Mais dans quels mondes vit-on ? Que laissent donc faire les politiques qui témoignent ainsi d'une insoutenable incurie, incompétence et cruauté envers les animaux ... Le retour de manivelle sera violent ! Les prémices sévissent déjà ! Ne plus s'étonner, les responsables sont pointés du doigt, vilipendés à juste titre.
Arguer de la pression des animaux sur les communautés aborigènes relève de la manipulation, de la désinformation et surtout de la volonté d'expédier le dossier de façon radicale et totalement inopportune, dans la précipitation face à un contexte explosif. Question de coûts !
Aujourd'hui, ce sont les dromadaires, demain viendra le tour des kangourous, etc ... Jusqu'à désertifier le continent où les COLONS ne pourront plus subsister. La terre des Ancêtres reprendra ses DROITS.
Nous voici en présence de décideurs australiens magnanimes en faveur des Aborigènes, résolument éco-logiques pour ce qui concerne les risques de pollutions ! Inclinations fourbes et aisées ...
Si cette décision devait être appliquée, elle rendrait compte en amont de nombreuses négligences. Nous assisterions à un désastre et un génocide animalier sans précédent. Un comble, lorsqu'il s'agit d'animaux spécifiques, aujourd'hui endémiques, capables de résister à la privation d'eau, aux extrêmes.
Nous pensons qu'en matières de pollutions et de transports industriels, les australiens devraient ralentir un peu et revenir aux temps des caravaniers, des caravansérails tout équipés, ne manquant de rien, servant aux chevaux comme aux dromadaires. Redéfinir une autre gestion du temps leur serait profitable et éviterait les catastrophes récurrentes que l'Île - Continent connaît actuellement, avec une acuité croissante, exponentielle.
Gestion actuelle calamiteuse de l'eau douce, - Pluies, cours d'eau -, dont on sait que la majeure partie flue vers l'océan et se perd. Un Continent aussi vaste requiert un aménagement des territoires capables de traverser des épisodes de sécheresse et de canicule conséquents. Les élites le savent, n'auront rien entrepris de crédible et d'efficace. Combien de pays accusent les mêmes retards alors que l'urgence climatique devient une évidence incontournable. Des villes aux campagnes, tout responsable moderne se doit d'intervenir, de prévenir, de protéger, d'amménager, de veiller sur l'épuisement des ressources hydriques ; c'est là un impératif majeur.
Massacre d'animaux, dévastation des forêts, l'Australie perd sa substance, ses sources de vies et persiste et signe !
Abattre ces animaux légendaires confine au génocide, à l'écocide majeur ! Il y a des solutions. Ne pas le reconnaître vaut immense aveu d'incapacité notoire et révoltante. Parer au plus pressé, de manière expéditive, à moindre coût : tuer, assassiner par milliers des dromadaires après les avoir introduits ...
Outre la prévention nulle et non avenue en matière de feux et d'incendies, sur tout le continent australien, le gouvernement se rendra coupable d'un abattage massif très préjudiciable à la biodiversité et surtout, à l'utilisation de ces cheptels que l'on pourrait organiser à travers tous le pays.
N'oublions pas le dernier recours du transbordement de ces animaux vers d'autres contrées en mesure de les accueillir tous ou en parties savamment dosées, en fonction des terres d'accueil et de leur usage, du rôle qu'ils pourraient jouer au sein des sociétés rurales, vivant aux portes des régions désertiques, sahéliennes...
C'est là un patrimoine inestimable ! Comment laisser faire cela alors que l'Île Continent vient de perdre près de 500 Millions d'animaux, davantage à ce jour ?
Nous espérons que les grandes associations prendrons à coeur la défense de ce dossier certes complexe mais ô combien salvateur pour le pays, dans la mesure où justement, ce capital animalier est géré à bon escient, en suivant des options et des stratégies transitoires d'actualité.
Les dromadaires peuvent faire mieux que l'extraction et l'usage du charbon qui empoisonne l'existence des Australiens, qui précipite la nation vers l'accident climatique majeur inévitable.
A PARTAGER A DIFFUSER DISONS NON A CE MASSACRE
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