16 juin 2016
POUR UN SOUFFLE !...
Je garde toujours un coquillage à mes côtés une conque dont l'enroulement et l'écho me parlent de la mer et des vents lointains Quand j'étais enfant les strombes fossiles celaient profondément son chant et bien que l'opercule manquât à ce refuge un souffle...